Textes parus dans Le Libertaire, n° 440, 21 juillet 1955, p. 1
LA demande de mise en liberté provisoire déposée par les avocats de Pierre Morain ne permet aucun espoir, car elle sera presque certainement refusée.
Cependant, les avocats ont pu obtenir que le jugement ait lieu rapidement, certainement fin juillet, avant les vacances des tribunaux. De cette façon, au cas où notre camarade serait acquitté, le temps de détention préventive sera limité au maximum.