Texte paru dans la revue Sou’al, n° 7, septembre 1987, p. 153-154
Les journalistes algériens – donc l’État – sont-ils devenus à ce point amnésiques pour oser ainsi falsifier l’Histoire ? Pour nous qui, au nom d’un certain nombre de valeurs que nous croyions communes, avions soutenus les Algériens durant leur lutte, leurs propos concernant le procès de Klaus Barbie sont à la fois consternants et révoltants. De même que l’expression de leur racisme antijuif digne des « meilleures » pages de Brasillach.