Source : Paul Philippe, « Un combat politique », in Sidi Mohammed Barkat (dir.), Des Français contre la terreur d’Etat (Algérie 1954-1962), Paris, Reflex, 2002, p. 100.
(…) dans les débuts, les combattants des maquis algériens manquaient de signes de reconnaissance et ils désiraient disposer d’un écusson portant le drapeau algérien (étoile et croissant) avec le sigle ALN, Armée de libération nationale.
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