Extrait de Maxime Rodinson, La fascination de l’islam, Paris, La Découverte, 2003 [1ère édition : Paris, François Maspero, 1980], p. 129-139
6. Quelques thèses pour conclure
Relisant une dernière fois les pages qui précèdent, je suis saisi par un doute quant à l’impression générale qu’elles pourront laisser au lecteur. Il me semble que cette impression sera exagérément optimiste. La raison en est claire. J’ai écrit et parlé pour des orientalistes. Je n’avais pas à leur donner de leçons. Je devais faire confiance aux tendances positives que j’apercevais dans leur activité, supposer leur continuation, leur victoire sur les ombres restant au tableau.
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