Mon dernier texte intitulé « 1943. Le Manifeste du peuple algérien » vient de paraître dans le livre dirigé parPierre Singaravélou (coordonné par Arthur Asseraf, Guillaume Blanc, Nadia Yala Kisukidi et Mélanie Lamotte), Colonisations. Notre histoire (Seuil).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon ouvrage, Histoire algérienne de la France, paru en octobre dernier aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la parution, aujourd’hui, du Dictionnaire de la guerre d’Algérie (éditions Bouquins), sous la direction des historiens Tramor Quemeneur, Ouanassa Siari Tengour et Sylvie Thénault.
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « En sol majeur », diffusée ce samedi 11 mars à 15h10 sur RFI (89,0 MHz FM à Paris).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’un nouvel entretienautour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que la soirée de lancement du très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental, qui vient de paraître aux éditions Otium, aura lieu ce mercredi 8 févrierà partir de 19h à la librairie coopérative Envie de lire : 16, rue Gabriel Péri 94200 Ivry-sur-Seine (métro : Mairie d’Ivry).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Article paru dans El-Oumami, n° 8, février-mars 1980, p. 13-15
Chinese Prime Minister Chou En-Lai shakes hands with Pakistan Prime Minister Mohammed Ali at the end of the African-Asian Conference, held in Bandung, Java, Indonesia in April 1955.
Au cours d’une récente réunion générale du parti, un rapport a été présenté, dont le but était de faire le point pour situer approximativement où ce mouvement historique en est arrivé aujourd’hui alors que nous escomptons une reprise de la lutte prolétarienne et qu’il nous intéresse au plus haut point de préciser quelles forces pèseront dans la balance de la révolution communiste.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour la revue trimestrielle Chroniques Noir & Rouge(n° 11, décembre 2022, p. 60-61).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour le site Slate.fr
Retrouvez aujourd’hui sur le site du magazine Mariannemon entretien avec Kévin Boucaud-Victoire autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Valentine Faure pour l’édition papier du journal Le Monde datée du 15 décembre.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Akram Belkaïd pour Le Monde diplomatique de décembre.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux PUF.
Retrouvez aujourd’hui dans Reporters la troisième et dernière partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux PUF.
Mon dernier article intitulé « Bhagat Singh. Martyr athée de l’indépendance indienne » vient de paraître dans le second numéro de Brasero. Revue de contre-histoire(L’échappée).
Le journal Reporters a publié aujourd’hui la deuxième partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de mon dernier ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux Puf.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de ma participation à l’émission Dima M3a Com – ديما معاك diffusée en direct ce vendredi 11 novembre à 19h sur DIMA TV…
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « Trous Noirs », diffusée en direct ce lundi 7 novembre, de 16h à 18h, sur Radio Libertaire (89.4 MHz FM à Paris).
Le journal Reportersa publié dans son édition du 1er novembre 2022 la recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) ainsi que la première partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de cet ouvrage.
Je suis très heureux de pouvoir annoncer la mise en ligne, ce matin, de mon entretien avec la journaliste Leïla Beratto pour son podcast L’Horizon au sujet de mon Histoire algérienne de la France (Puf).
L’enregistrement est accessible sur la plateforme ARTE Radio en cliquant sur ce lien.
Interview de Mohammed Harbi réalisée par Jean-Jacques Laredo et parue dans Rouge,n° 1133, 2 au 8 novembre 1984, p. 8-9
Mohammed Harbi
Mohammed Harbi est né dans le Nord-Constantinois en 1933. Il adhère au PPA-MTLD à l’âge de quinze ans et deviendra membre de la direction de la fédération de France du FLN. Après avoir occupé les fonctions de secrétaire général au ministère des Affaires extérieures puis de conseiller à la présidence de la République après l’indépendance, il est emprisonné pendant cinq ans sans jugement pour son opposition au coup d’Etat de 1965. Il vit en exil en France depuis 1973.
J’aurai le plaisir d’animer, en compagnie du politiste Paul Max Morin (auteur de l’ouvrage Les jeunes et la guerre d’Algérie), une conférence ayant pour thème : la centralité de la question algérienne en France.
Mon nouveau livre, intitulé Histoire algérienne de la France (PUF), paraît aujourd’hui et sera disponible dès ce matin dans toutes les bonnes librairies.
Ouarda, la grande chanteuse algérienne a revêtu au Caire la tenue de combat, pour chanter avec ses frères de la troupe Nationale Algérienne la beauté de leur révolution. Elle aussi à sa façon est une militante. (Faîza n° 20 déc. 61)
— Comment s’est posée la question de la participation des femmes au début de l’insurrection ?
— Je crois qu’il faut d’abord situer la position de la société féminine à la veille de l’insurrection. La question de la femme était débattue dans des cercles très restreints et portait surtout sur le voile. A part le parti communiste, personne ne posait réellement la question. Un certain nombre de gens dans le mouvement nationaliste avaient conscience de la nécessité de la participation des femmes, mais cette conscience, par exemple dans le M.T.L.D., se heurtait au traditionalisme de la base du mouvement. A Skikda, en 1951, le M.T.L.D. a fait une expérience avec une jeune fille en classe de Maths Elem. Elle a été chargée de contacter des femmes de militants dans les faubourgs de la ville et de discuter avec elles des questions politiques. Petit à petit elles en sont arrivées à lui parler de leurs problèmes familiaux, de leurs relations au sein de la famille, avec leurs frères aînés, leurs maris, etc. A l’époque, personne n’était en mesure ou ne voulait répondre aux questions posées. Au début de l’insurrection, la participation des femmes a été résolue au coup par coup d’une manière spontanée. Dans les villes, ce sont essentiellement des filles, mal à l’aise dans leur famille, en général des lycéennes, qui ont essayé de rejoindre le maquis. Cela n’a pas été toujours facile parce que les maquis eux-mêmes n’acceptaient pas les femmes. Je connais le cas d’une jeune fille qui a voulu rejoindre le maquis le la région de Guelma ; elle a été renvoyée : on lui a dit que les maquis n’étaient pas pour elle, qu’elle était une jeune fille de famille et qu’il n’était pas question de l’accepter. Elle a fait deux ou trois tentatives avant d’être gardée quelque temps dans le maquis ; elle a d’ailleurs été très vite arrêtée. Le responsable de cette région à l’époque était l’actuel responsable de la région militaire de Constantine, le colonel Hadjerès. Il n’acceptait pas de bon gré les femmes au maquis.
Article de Monique Gadant paru dans les Cahiers du féminisme, n° 61, été 1992, p. 38-39
les Femmes algériennes dans la guerre de Djamila Amrane
Trente ans après la fin de la guerre de libération, ce travail important d’une historienne, qui fut elle-même une de ces femmes dans la guerre, nous donne à voir ce que fut cette participation.
Article signé M.C.L. paru dans Le Monde libertaire, n° 519, 23 février 1984
IL en a été de la révolution algérienne comme de la révolution russe et comme de tant d’autres révolutions à la mode de la course au pouvoir sans partage d’un parti ou d’une clique : le cannibalisme politique y a fait des ravages. Un cannibalisme d’un genre un peu particulier, cependant, en ce qui concerne l’Algérie. Un cannibalisme qui non seulement a dévoré ses propres enfants mais également son ou ses pères. Un cannibalisme œdipien, donc !
Les conclusions « marxistes-léninistes » par lesquelles l’auteur s’est cru obligé de terminer son ouvrage, ne peuvent lui retirer les qualités d’objectivité dans l’exposé des faits. Le livre se lit avec intérêt, apporte une riche documentation et une bibliographie qui peuvent permettre d’approfondir certains problèmes qui ne pouvaient être traités à fond dans un tel ouvrage. Il faut donc le lire, et nous pouvons dire sans restriction, car il enrichit l’histoire du mouvement ouvrier. Quant à accepter ses vues politiques, exposées pour l’essentiel dans les derniers chapitres, ceci est une toute autre affaire.
Fritz Sternberg – Éditions du Seuil. (I vol. 670 pages).
Ne pouvant lire que fort peu de périodiques, je n’ai connaissance que de deux « critiques » de l’ouvrage de Sternberg, en fait deux présentations louangeuses, mais des plus quelconques.
Le livre de Daniel Guérin, qui vient après tant d’ouvrages, écrits la plupart du temps par des historiens de métier, ne ressemble à aucun autre. Le titre même, fortement suggestif, laisse présager ce que le contenu de ce travail apportera de foncièrement nouveau.
Recension de Michel Auvray parue dans Agoralibertaire, n° 29, décembre 1985, p. 23
Il est des silences qui ressemblent à des complicités. Prompte à célébrer la mémoire de ses morts du métro Charonne, la gauche française a pratiquement « oublié » les victimes des ratonnades d’octobre 1961. Il y avait bien un document cinématographique réalisé à chaud (« Octobre à Paris »), quelques articles de presse et, depuis peu, un polar (Didier Daeninckx, « Meurtres pour mémoire »). Bien peu en 25 ans, et pour cause : le souvenir de ces centaines d’Algériens assassinés par les policiers parisiens mettait à nu la faiblesse des réactions des partis et syndicats compromis dans la guerre d’Algérie.
Article paru dans La Voix du peuple, mars 1962, p. 1, 2 et 4
Ils ont lutté pour que tous les Algériens vivent librement et démocratiquement
Il y a un quart de siècle, le PARTI DU PEUPLE ALGERIEN (P.P.A.) a vu le jour dans la région parisienne. Effectivement, la date précise de la fondation de ce parti a été le 11 mars 1937. Ce fut, il faut le souligner, un grand événement dans la lutte pour l’indépendance de l’Algérie. Etant donné la conjoncture actuelle, nous croyons utile de rappeler ce passé qui reste inconnu, surtout pour la jeunesse algérienne. Il est vrai qu’il y a dans cet anniversaire plus d’une génération en tenant compte de la précipitation des événements, de leur envergure et de leur caractère particulier. C’est pourquoi, avant de relater la fondation du P.P.A., il est nécessaire, pour la compréhension et la clarté des choses, de présenter à nos lecteurs les étapes de la lutte qui ont précédé sa fondation. Avant le P.P.A., le MOUVEMENT NATIONAL ALGERIEN avait pour nom l’ETOILE NORD-AFRICAINE (E.N.A.). Cette organisation fut l’objet de poursuites et de dissolutions durant plusieurs années.
Le livre de Georges Fontenis, « L’autre communisme« , histoire subversive du mouvement libertaire, qui va paraitre à la rentrée, rappelle, entre autres, le rôle, souvent méconnu, des libertaires pendant la guerre d’Algérie. Nous vous en livrons un extrait.
Article paru dans La Voix du Peuple, février 1962, p. 4 et 3
Nous avons reçu un certain nombre de lettres de la part de nos lecteurs après la publication de notre dernier article « quelques vérités historiques sur le déclenchement de la Révolution Algérienne ». Les uns nous demandent des précisions sur certains faits, les autres voudraient que MESSALI HADJ, père du nationalisme algérien, écrive rapidement ses mémoires sur le mouvement révolutionnaire algérien jusqu’au déclenchement de la Révolution en Algérie. D’autres voudraient qu’on consacre chaque fois un feuilleton sur la crise de 1953 jusqu’au 1er novembre 1954.
Entretien avec Ahmed Ben Bella paru dans Sans Frontière, semaine du 26 mars au 1er avril 1982, p. 3-5
Il était aussi curieux que nous. Il ne cessait de poser des questions. « Comment avez-vous fait cette radio ? » – « Sans Frontière est né quand ? » Nous étions aussi intrigués d’avoir en face de nous Ahmed Ben Bella, aussi jeune que sur les photos que nous avions en mémoire du premier président de l’Algérie indépendante, et surtout l’un des hommes du premier novembre, alors qu’il a passé les 2/3 de sa vie en prison. L’interview a été réalisée dans le studio de Radio Soleil Ménilmontant.
Article de Daniel Guérin paru dans La Rue, n° 28, 1er trimestre 1980, p. 94-97
On a fait grand bruit sur une grosse compilation de quelques 400 pages, intitulée « les Porteurs de valises ». Ses auteurs sont deux jeunes journalistes de feu « Politique-Hebdo », Hervé Hamon et Patrick Rotman. Ils ont cru pouvoir donner comme sous-titre à leur pavé : « la résistance française à la guerre d’Algérie ». Une résistance que, vu leur âge, ils ne peuvent avoir vécue et sur laquelle ils ne dissertent que par ouï-dire. Une résistance dont ils n’évoquent qu’une des phases, chronologiquement la plus tardive, politiquement la plus déficiente et aussi la plus tendancieuse, puisqu’elle se bornait à une assistance technique et clandestine (bien que courageuse et généreuse) à l’une des composantes de la révolution algérienne.
Mon dernier texte intitulé « L’acquisition de compétences militaires chez des indépendantistes algériens. Le cas des partisans de Messali Hadj » vient de paraître dans le livre dirigé parA. Allal, G. Dorronsoro et O. Grojean, Politiques de la violence. Organiser la lutte de la Colombie au Pakistan, Paris, Karthala, 2021, p. 47-69
Article d’Afif paru dans Alternative libertaire, n° 45, septembre 1996, p. 21
Dans le cadre du travail théorique effectué par les communistes libertaires arabes, visant à rechercher des recoupements, des rencontres, voire des similitudes entre la pensée arabo-islamique et la pensée libertaire « européenne », voici une contribution faite par notre camarade Afif.
Mon dernier texte intitulé « Retour réflexif sur une intervention hors cadre. Le hirak ou le « futur déjà terminé » de la révolution anticoloniale » vient de paraître dans le livre dirigé parA. Allal, L. Baamara, L. Dakhli et G. Fabbiano, Cheminements révolutionnaires. Un an de mobilisations en Algérie (2019-2020), Paris, CNRS éditions, 2021, p. 219-241
J’interviendrai ce samedi 25 septembre lors de la Journée pour le Hirak en France. Avec l’historien Ali Guenoun, je discuterai du thème suivant : « Les questions nationales algériennes non réglées et le Hirak ».