J’aurai le plaisir d’animer demain, samedi 13 mai, à 18h30 une conférence sur le thème suivant : « Du mythe de l’Algérie française à celui de la France algérienne« .

J’aurai le plaisir d’animer demain, samedi 13 mai, à 18h30 une conférence sur le thème suivant : « Du mythe de l’Algérie française à celui de la France algérienne« .
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis, camarades, collègues et lecteurs, la parution, le 8 septembre, de mon sixième livre intitulé : Le Remplaçant. Journal d’un prof (précaire) de banlieue.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « En sol majeur », diffusée ce samedi 11 mars à 15h10 sur RFI (89,0 MHz FM à Paris).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’un nouvel entretien autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que la soirée de lancement du très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental, qui vient de paraître aux éditions Otium, aura lieu ce mercredi 8 février à partir de 19h à la librairie coopérative Envie de lire : 16, rue Gabriel Péri 94200 Ivry-sur-Seine (métro : Mairie d’Ivry).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution, aux Éditions Otium (Collection Argentique), d’un très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental.
Vous y trouverez les contributions éclairantes de Sohir Belabbas-Bendaoud, Marie Chominot, Olivier Hadouchi, Constantin Katsakioris et Luísa Semedo.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour la revue trimestrielle Chroniques Noir & Rouge (n° 11, décembre 2022, p. 60-61).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour le site Slate.fr
Retrouvez aujourd’hui sur le site du magazine Marianne mon entretien avec Kévin Boucaud-Victoire autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Valentine Faure pour l’édition papier du journal Le Monde datée du 15 décembre.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Mon entretien avec Romain Masson, à propos de mon dernier ouvrage Histoire algérienne de la France (Puf), est en ligne depuis ce matin sur le site de la revue Le Comptoir.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Akram Belkaïd pour Le Monde diplomatique de décembre.
Retrouvez aujourd’hui dans Reporters la troisième et dernière partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux PUF.
Je serai l’invité du Forum Latitude, organisé par la librairie 47 degrés Nord, qui se tiendra à Motoco : 13, rue de Pfastatt, 68200 Mulhouse.
J’interviendrai ce samedi 19 novembre à 13h (salle 2) dans le cadre de la conférence intitulée « FRANCE-ALGÉRIE : FAIRE LA LUMIÈRE SUR LE PASSÉ ».
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de ma participation à l’émission Dima M3a Com – ديما معاك diffusée en direct ce vendredi 11 novembre à 19h sur DIMA TV…
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution, ce matin, d’une recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) sur l’incontournable site À contretemps.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « Trous Noirs », diffusée en direct ce lundi 7 novembre, de 16h à 18h, sur Radio Libertaire (89.4 MHz FM à Paris).
Le journal Reporters a publié dans son édition du 1er novembre 2022 la recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) ainsi que la première partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de cet ouvrage.
Je suis très heureux de pouvoir annoncer la mise en ligne, ce matin, de mon entretien avec la journaliste Leïla Beratto pour son podcast L’Horizon au sujet de mon Histoire algérienne de la France (Puf).
L’enregistrement est accessible sur la plateforme ARTE Radio en cliquant sur ce lien.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution, hier, d’une recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) sur l’excellent site Ni patrie ni frontières.
J’aurai le plaisir de présenter mon dernier livre, Histoire algérienne de la France (Puf), ce mercredi 26 octobre à 18h à l’Auditorium de la Bibliothèque nationale et universitaire : 6, place de la République 67070 Strasbourg.
J’aurai le plaisir d’animer, en compagnie du politiste Paul Max Morin (auteur de l’ouvrage Les jeunes et la guerre d’Algérie), une conférence ayant pour thème : la centralité de la question algérienne en France.
Amis, camarades, collègues et lecteurs…
Mon nouveau livre, intitulé Histoire algérienne de la France (PUF), paraît aujourd’hui et sera disponible dès ce matin dans toutes les bonnes librairies.
Extrait du roman d’Honoré de Balzac, Illusions perdues, Paris, Veuve André Houssiaux, éditeur, Hébert et Compagnie, successeurs, 1874, p. 198-204
— Eh ! bien ? dit Lucien après un moment de silence qui lui sembla d’une longueur démesurée.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution d’une nouvelle recension de mon second livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance (PUF, 2019) dans la revue d’histoire Outre-Mers (n° 408-409, 2ème semestre 2020).
Voici un extrait de ce compte-rendu rédigé par l’historien Guy Pervillé :
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution, ce jour, de mon nouveau livre : Dissidences algériennes. Une anthologie, de l’indépendance au hirak.
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution, le 16 juillet, de mon nouveau livre : Dissidences algériennes. Une anthologie, de l’indépendance au hirak.
Le blog Des nouvelles du front a publié hier des documents collectés par mes soins ayant trait au Printemps berbère de 1980 et au Printemps noir de 2001. C’est une manière de faire écho au double anniversaire de ces événements mais aussi d’annoncer la parution de mon prochain livre intitulé Dissidences algériennes. Une anthologie, de l’indépendance au hirak.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution d’une nouvelle recension de mon second livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance (PUF, 2019) et parue cette semaine dans The Journal of North African Studies.
Voici les premières lignes de ce compte-rendu rédigé par l’historien Andrea Brazzoduro et intitulé “Reconsidering the history of Algerian independence: a book review essay” :
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution d’une nouvelle recension de mon premier livre La Fabrique du Musulman (Libertalia, 2017) sur le blog jrdgn.
Paul Mattick, Marxisme, dernier refuge de la bourgeoisie ?, Genève, Entremonde, 2011 [1983], p. 356-365
IDÉOLOGIE ET CONSCIENCE DE CLASSE
Après coup, toutes les causes perdues paraissent irrationnelles et toutes celles qui ont triomphé rationnelles et justes. Invariablement, les buts visés par une minorité révolutionnaire défaite ont été qualifiés d’utopiques et, par conséquent, considérés comme indéfendables. Pourtant, le terme « utopique » ne peut guère être appliqué à des projets objectivement réalisables, mais doit être réservé à des systèmes imaginaires qui peuvent avoir, ou ne pas avoir, des bases matérielles concrètes qui permettraient leur réalisation. Il n’y avait rien d’utopique dans la tentative de prendre le contrôle de la société grâce aux conseils ouvriers et de mettre ainsi fin à l’économie de marché, puisque, dans le système capitaliste développé, le prolétariat industriel est le facteur déterminant du processus de reproduction sociale dans son ensemble, et qu’il n’est absolument pas obligatoire que ce processus passe par l’utilisation du travail salarié. Que la société soit capitaliste ou socialiste, c’est, dans chaque cas, la classe ouvrière qui lui permet d’exister. La production peut être effectuée sans qu’il soit besoin de prendre en compte une expansion exprimée en termes de valeur, ni de satisfaire les exigences de l’accumulation du capital. Il n’est pas forcé que la distribution et l’allocation du travail social empruntent le chemin des relations d’échange indirectes du marché, car elles peuvent être organisées consciemment grâce à de nouvelles institutions sociales placées sous le contrôle ouvert et direct des producteurs. Le capitalisme occidental de 1918 n’était pas Le système de production sociale obligatoire, mais simplement celui qui existait et son renversement aurait simplement supprimé les embarras capitalistes.
Otto Rühle, Karl Marx. Vie et oeuvre, Genève, Entremonde, 2011 [1928], p. 96-101
DIALECTIQUE
Tout le travail de Marx depuis nombre d’années se réduisait au fond à lutter contre Hegel de façon directe ou détournée.
Un jeune géant armé de griffes léonines et combattant fiévreusement pour accroître à ses propres yeux le sentiment de sa valeur, étranger à la société qui ne voulait pas le reconnaître, l’évitait même et le persécutait, s’était cabré contre la toute puissance de Hegel, monumentale figure révérée et admirée dans tout le monde de l’esprit.
Kostas Papaïoannou, L’idéologie froide. Essai sur le dépérissement du marxisme, Paris, Editions de l’Encyclopédie des Nuisances, 2009 [1967], p. 17-34
I
MARXISME ET ORTHODOXIE
« Tout ce que je sais c’est que moi, je ne suis pas marxiste. »
Marx
«… Ils ont fait de notre théorie un dogme unique de salut. »
Engels
Ce qui nous paraît nouveau dans les régimes qui se réclament du marxisme, ce n’est pas l’étatisation de l’économie (caractéristique des régimes archaïques qu’à la suite des classiques Marx désignait par le vocable « despotisme oriental ») ; ni l’écrasement de la libre pensée (trait permanent de tous les régimes théocratiques) ; ni l’allure fulgurante de l’industrialisation (la Russie tsariste, les États-Unis, le Japon ou l’Union sud-africaine ont connu des taux aussi élevés avec moins de frais, sinon avec plus d’efficacité) ; ni l’expropriation massive des paysans (c’est bien cela qu’annonçait le de te fabula narratur du Capital, mais Marx ne soupçonnait pas que, par-dessus les « philistins allemands », il s’adressait en réalité aux plus « orthodoxes » de ses disciples) ; ni l’écrasement des organisations ouvrières (le fascisme italien avait le premier tracé le chemin que le stalinisme et le nazisme ont suivi avec la même déconcertante facilité) ; ni l’instauration d’une discipline draconienne dans les usines (qu’on relise La Situation des classes laborieuses en Angleterre d’Engels) ; ni la rigueur impériale (ce n’est pas pour la première fois qu’on a déporté des peuples allogènes ou écrasé des révolutions irrédentistes), ni la terreur (… nulla sine poena cessavit dies…) ; ni même la troublante situation d’une classe dominante matériellement privilégiée mais spirituellement et politiquement aliénée : la classe des « hommes de service », créée, elle aussi de toutes pièces, par l’autocratie des tsars, n’était pas plus libre que l’« intelligentsia » soviétique sous le règne du Vojd.
Karel Kosic, La dialectique du concret, Paris, François Maspero, 1978, p. 165-170
Les dieux n’existent que pour celui qui les reconnaît. Est-ce à dire qu’au-delà des limites de notre terre, ils se transforment en simple bois, tout comme le roi devient simple mortel ? En fait, un dieu n’est pas du bois, mais un produit et un rapport social. La critique rationaliste, qui a enlevé aux hommes la religion et leur a démontré que les autels, les dieux, les saints et les églises n’étaient « rien d’autre » que du bois, de l’étoffe et de la pierre, est, du point de vue philosophique, en retrait sur la simple foi des croyants, car les dieux, les saints et les temples sont effectivement autre chose que de la cire, du bois ou de la pierre. Ce sont des produits de la société, et non de la nature. C’est pourquoi la nature ne peut ni les créer ni les remplacer. Est-ce à dire que le baba de Sylvie est autre chose qu’un drap ?
Gaya Makaran y Pierre Gaussens (coordinadores), Piel blanca, máscaras negras. Crítica de la razón decolonial, México, Bajo Tierra A.C. y Centro de Investigaciones sobre América Latina y el Caribe-Universidad Nacional Autónoma de México, 2020, p. 9-41
Autopsia de una impostura intelectual
Gaya Makaran
Pierre Gaussens
Yo, hombre de color, sólo quiero una cosa: que nunca el instrumento domine al hombre. Que cese siempre el sometimiento del hombre por el hombre. Es decir, de mí por otro. Que se me permita descubrir y querer al hombre, allá donde se encuentre. El negro no es. No más que el blanco.
Frantz Fanon (2009: 190)
Lo “decolonial” es una moda, lo poscolonial es un deseo y lo anticolonial es una lucha.
Silvia Rivera Cusicanqui (1)
Evocando a Fanon
Con máscaras y disfraz, entre usurpación y ventriloquía, en el juego carnavalesco de las identidades blanquinegras se confunden los unos y los otros, atrapados juntos en un laberinto de espejos. Es para salir de allí que hemos decidido retomar, con cierto atrevimiento, el título original de una obra que puede orientarnos, Piel negra, máscaras blancas, de Frantz Fanon (2009) [1952], mediante una inversión de términos que busca jugar con la multiplicidad de mensajes simbólicos que de este ejercicio se desprenden. Por un lado, al proponernos una crítica de los estudios decoloniales evocando el espíritu fanoniano, queremos posicionarnos desde su anticolonialismo activo, crítico, interrogante y antiesencialista, frente a lo que consideramos una tergiversación de su legado por una moda intelectual. Por el otro, estamos movilizando la imagen de las máscaras para referirnos al problema de la impostura y la representación ventrílocua de las alteridades, de “los otros”. En este sentido, nuestra reflexión acerca de la marca colonial que se estampa sobre las estructuras sociales de la dominación en América Latina, más que anclarse en la alegoría de la piel y su color como (des)legitimadores de quienes hablan, parte del principio de su honestidad derivada de la no suplantación y, en contraste, proyecta desenmascarar los discursos académicos que pretenden hablar en nombre de los subalternos.
Joseph Gabel, La fausse conscience, Paris, éditions de Minuit, 1962, p. I-IV
AVANT – PROPOS
L’histoire récente a été témoin de deux explosions majeures de fausse conscience : le racisme et l’idéologie stalinienne. Elles appartiennent au passé mais leur passage a fourni la preuve, qui demeure valable, que la fausse conscience — traitée par le marxisme traditionnel quelque peu en concept livresque — guette notre vie quotidienne et peut, le cas échéant, tourner à la tragédie.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution d’une nouvelle recension de mon second livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance (PUF, 2019) sur le blog de la revue Dissidences.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution d’une nouvelle recension de mon premier livre La Fabrique du Musulman (Libertalia, 2017) sur le blog Dix ans de retard.
Extrait de Maxime Rodinson, Peuple juif ou problème juif ?, Paris, La Découverte, 1997 [1ère édition : Paris, François Maspero, 1981], p. 5-18
INTRODUCTION
Ce recueil de textes — nouveaux et anciens — étalés sur une quinzaine d’années espère provoquer quelque intérêt en vertu d’un seul facteur, une même ligne de pensée qui en est le fil conducteur. Il s’agit en effet d’un phénomène très rare : une réflexion sur les problèmes juifs qui n’est pas judéocentrique, qui se veut même critique de l’optique judéocentrique.
Extrait de Maxime Rodinson, Israël et le refus arabe. 75 ans d’histoire, Paris, Le Seuil, 1968, p. 203-229
CONCLUSION
Les pages qui précèdent ont voulu exposer au lecteur les grandes lignes du conflit israélo-arabe. Mon exposé a été essentiellement historique avec, çà et là, quelques données sociologiques fondamentales. Certaines affirmations ont pu étonner, étant contraires à des idées largement répandues. Elles sont pourtant solidement documentées. J’ai pu fournir arguments et références dans des travaux impliquant, à la différence de celui-ci, un appareil d’érudition.
Extrait de Maxime Rodinson, La fascination de l’islam, Paris, La Découverte, 2003 [1ère édition : Paris, François Maspero, 1980], p. 129-139
6. Quelques thèses pour conclure
Relisant une dernière fois les pages qui précèdent, je suis saisi par un doute quant à l’impression générale qu’elles pourront laisser au lecteur. Il me semble que cette impression sera exagérément optimiste. La raison en est claire. J’ai écrit et parlé pour des orientalistes. Je n’avais pas à leur donner de leçons. Je devais faire confiance aux tendances positives que j’apercevais dans leur activité, supposer leur continuation, leur victoire sur les ombres restant au tableau.
Extrait de Maxime Rodinson, Islam et capitalisme, Paris, Demopolis, 2014 [1ère édition : Paris, Le Seuil, 1966], p. 222-243
ISLAM ET SOCIALISME
Les Etats du monde musulman sont précisément aujourd’hui à un de ces moments décisifs où il leur est possible de choisir leur voie. La décolonisation généralisée, la renonciation des impérialismes occidentaux aux méthodes de domination directe, la concurrence des deux grands systèmes économiques de la société industrielle ont créé une situation révolutionnaire où il est possible de rompre, dans une certaine mesure, avec le passé et de repartir d’un nouveau pied. Partout des équipes dirigeantes, dans certaines limites, sous certaines conditions, peuvent opter.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution, cette semaine, sur le site de Jeune Afrique, d’une nouvelle recension de mon livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance (PUF, 2019).