J’ai le plaisir d’annoncer à mes amis et lecteurs que je présenterai mon livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance et qui porte sur les trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj, ce mercredi 9 octobre à 14h à Oran.

J’ai le plaisir d’annoncer à mes amis et lecteurs que je présenterai mon livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance et qui porte sur les trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj, ce mercredi 9 octobre à 14h à Oran.
Article de Raymond Guilloré paru dans La Révolution prolétarienne, n° 190, février 1964, p. 20.
Le 27 janvier Mohammed Boudiaf a parlé à Paris devant un auditoire composé en majorité d’étudiants français. La réunion était organisée par le C.I.D.R.A. (Comité International de Défense des Révolutionnaires Algériens). Car dans cette Algérie en pleine révolution, les révolutionnaires ont déjà besoin d’être défendus. Boudiaf en est une des figures les plus représentatives. Ancien compagnon de captivité de Ben Bella, il n’est plus d’accord avec son frère de combat et de geôle. Animateur du Parti de la Révolution Socialiste, il l’attaque, pourrait-on dire, sur la gauche. Ben Bella l’a fait emprisonner, puis expulser de son pays.
Article de Gilbert Simon paru dans Le Libertaire, n° 428, 28 avril 1955.
La conférence de Bandoeng groupant les représentants de vingt-neuf gouvernements asiatiques et africains s’est terminée mardi 25 avril par le vote de quelques résolutions sur la coexistence et l’anticolonialisme.
Extrait de la conférence prononcée par Albert Camus à l’Université d’Uppsala le 14 décembre 1957 et reproduite dans ses Œuvres, Paris, Gallimard, 2013, p. 1344-1346
Depuis un siècle environ, nous vivons dans une société qui n’est même pas la société de l’argent (l’argent ou l’or peuvent susciter des passions charnelles), mais celle des symboles abstraits de l’argent. La société des marchands peut se définir comme une société où les choses disparaissent au profit des signes.
Dans le cadre de l’UniverCité, j’ai animé avec Linda Amiri, le 17 janvier 2013 à la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, une conférence intitulée : “Combattre en France. Les immigrés algériens engagés dans la guerre d’indépendance”.
Nous avons chacun proposé des éléments se rapportant à l’histoire des mouvements que nous étudions, à savoir le Front de libération nationale et le Mouvement national algérien. Nous avons été discutés par Emmanuel Blanchard.