J’aurai le plaisir d’animer demain, samedi 13 mai, à 18h30 une conférence sur le thème suivant : « Du mythe de l’Algérie française à celui de la France algérienne« .

J’aurai le plaisir d’animer demain, samedi 13 mai, à 18h30 une conférence sur le thème suivant : « Du mythe de l’Algérie française à celui de la France algérienne« .
J’aurai le plaisir d’animer, en compagnie du politiste Paul Max Morin (auteur de l’ouvrage Les jeunes et la guerre d’Algérie), une conférence ayant pour thème : la centralité de la question algérienne en France.
Article paru dans La Voix du peuple, mai 1962, p. 2
A la suite du cessez-le-feu découlant des accords politiques franco-F.L.N. d’Evian, le M.N.A. mis devant cette situation de fait, a procédé d’une manière progressive à sa reconversion politique. Bien que n’ayant pas assisté aux négociations d’Evian, le M.N.A., après avoir fait d’expresses réserves sur ces accords politiques, a décidé de participer d’une manière active à l’édification de l’Etat Algérien conformément aux principes de l’autodétermination.
Article de Maxime Rodinson paru dans Partisans, n° 24, décembre 1965, p. 19-29
Le texte qu’on lira dans les pages suivantes correspond à une conférence que j’ai donnée à Alger, à la salle Ibn Khaldoun, le 1er avril 1965.
Elle faisait suite à deux conférences prononcées au même endroit dans les semaines précédentes et que je ne connais que par ouï-dire. L’une, celle de Jacques Berque, avait insisté, m’a-t-on dit, sur la spécificité de l’élan arabe (et algérien en particulier) vers l’indépendance et la la conscience nationales, sur l’enracinement de cet élan dans les valeurs transhistoriques particulières à ce peuple et sur les pulsions « anthropologiques » où ce mouvement puisait sa force. L’autre, celle de Roger Garaudy, introduisait l’idée de lutte sociale en invoquant Marx. Il canonisait la République Algérienne comme poursuivant une révolution de type marxiste et justifiait les efforts faits pour lui donner une référence islamique. D’une part, il rejetait l’idée d’une opposition radicale entre le sentiment religieux et la vision marxiste de la libération humaine. D’autre part, il assimilait l’idéologie musulmane à l’idéologie marxiste ou du moins les rapprochait. C’est en tous cas l’impression qu’en recueillirent ses auditeurs.
J’interviendrai, ce samedi 4 septembre à 15h, lors la conférence publique organisée par la Grande loge mixte de France (GLMF) sur le thème suivant : “Islam en France : comment lutter contre les préjugés et la fièvre identitaire ?”
J’ai le plaisir d’annoncer à mes amis et lecteurs que je présenterai mon livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance et qui porte sur les trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj, ce mercredi 9 octobre à 14h à Oran.
Article de Raymond Guilloré paru dans La Révolution prolétarienne, n° 190, février 1964, p. 20.
Le 27 janvier Mohammed Boudiaf a parlé à Paris devant un auditoire composé en majorité d’étudiants français. La réunion était organisée par le C.I.D.R.A. (Comité International de Défense des Révolutionnaires Algériens). Car dans cette Algérie en pleine révolution, les révolutionnaires ont déjà besoin d’être défendus. Boudiaf en est une des figures les plus représentatives. Ancien compagnon de captivité de Ben Bella, il n’est plus d’accord avec son frère de combat et de geôle. Animateur du Parti de la Révolution Socialiste, il l’attaque, pourrait-on dire, sur la gauche. Ben Bella l’a fait emprisonner, puis expulser de son pays.
Article de Gilbert Simon paru dans Le Libertaire, n° 428, 28 avril 1955.
La conférence de Bandoeng groupant les représentants de vingt-neuf gouvernements asiatiques et africains s’est terminée mardi 25 avril par le vote de quelques résolutions sur la coexistence et l’anticolonialisme.
Extrait de la conférence prononcée par Albert Camus à l’Université d’Uppsala le 14 décembre 1957 et reproduite dans ses Œuvres, Paris, Gallimard, 2013, p. 1344-1346
Depuis un siècle environ, nous vivons dans une société qui n’est même pas la société de l’argent (l’argent ou l’or peuvent susciter des passions charnelles), mais celle des symboles abstraits de l’argent. La société des marchands peut se définir comme une société où les choses disparaissent au profit des signes.
Dans le cadre de l’UniverCité, j’ai animé avec Linda Amiri, le 17 janvier 2013 à la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, une conférence intitulée : « Combattre en France. Les immigrés algériens engagés dans la guerre d’indépendance ».
Nous avons chacun proposé des éléments se rapportant à l’histoire des mouvements que nous étudions, à savoir le Front de libération nationale et le Mouvement national algérien. Nous avons été discutés par Emmanuel Blanchard.