Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la parution, aujourd’hui, du Dictionnaire de la guerre d’Algérie (éditions Bouquins), sous la direction des historiens Tramor Quemeneur, Ouanassa Siari Tengour et Sylvie Thénault.

Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la parution, aujourd’hui, du Dictionnaire de la guerre d’Algérie (éditions Bouquins), sous la direction des historiens Tramor Quemeneur, Ouanassa Siari Tengour et Sylvie Thénault.
Je suis très heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « En sol majeur », diffusée ce samedi 11 mars à 15h10 sur RFI (89,0 MHz FM à Paris).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour du très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental, qui vient de paraître aux éditions Otium.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’un nouvel entretien autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs que la soirée de lancement du très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental, qui vient de paraître aux éditions Otium, aura lieu ce mercredi 8 février à partir de 19h à la librairie coopérative Envie de lire : 16, rue Gabriel Péri 94200 Ivry-sur-Seine (métro : Mairie d’Ivry).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution, aux Éditions Otium (Collection Argentique), d’un très beau livre collectif, Boubaker Adjali l’Africain : un regard tricontinental.
Vous y trouverez les contributions éclairantes de Sohir Belabbas-Bendaoud, Marie Chominot, Olivier Hadouchi, Constantin Katsakioris et Luísa Semedo.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Sollicité au sujet de la pétition réclamant la libération d’Ihsane El Kadi, j’ai refusé de signer le texte daté du 26 décembre 2022 en raison de la référence à la constitution qui ne me semble pas constituer un point d’appui pour garantir le respect des libertés politiques.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour la revue trimestrielle Chroniques Noir & Rouge (n° 11, décembre 2022, p. 60-61).
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Sylvain Boulouque pour le site Slate.fr
Retrouvez aujourd’hui sur le site du magazine Marianne mon entretien avec Kévin Boucaud-Victoire autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Article paru dans El-Oumami n° 24, avril 1982, p. 16
L’ « Amicale des Algériens en Europe » semble revenir à ses vieilles méthodes dans le but de semer la peur dans les rangs des travailleurs émigrés. C’est ce qui se dégage en tout cas du récent incident qui a lieu le 28 mars dernier à la Maison du Peuple de Belfort au cours d’une réunion publique organisée par Ben Bella et ses partisans. Plusieurs dizaines de nervis de l’Amicale sont intervenus violemment à coups de barres de fer en scandant le nom de Boumediene et ont ainsi réussi à mettre un terme à la réunion, espérant en même temps décourager la présence des travailleurs émigrés à ce type de réunion.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 36, 15 novembre – 15 décembre 1979, p. 16-18
Depuis la mort de Boumédiène et son remplacement par Chadli, un certain nombre d’évènements ont eu lieu en Algérie. Nous avons déjà évoqué dans T.I.L. certains d’entre eux, comme par exemple la campagne d’ « assainissement ». Après l’élargissement de Ben Bella et la suppression des autorisations de sortie, la presse internationale n’a cessé de parler des perspectives de plus en plus certaines de « libéralisation ». Des illusions sont propagées par la presse bourgeoise au sein de la classe ouvrière, sur les effets bénéfiques d’une présumée « déboumédiènisation »…
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 35, 15 octobre – 15 novembre 1979, p. 5-8
La volonté de l’Etat français d’expulser toute une partie de l’immigration ouvrière ne fait pas de doute. Représentant une population d’environ 800 000 personnes aujourd’hui (843 806 en janvier 1977) dont près de 400 000 travailleurs, les Algériens, composante importante de l’immigration, sont directement visés. 350 000 d’entre eux ont reçu des cartes de séjour d’un an après l’expiration de celles de 10 ou 15 ans qu’ils possédaient. Ce n’est qu’un répit, qui reporte l’échéance d’une éventuelle expulsion à 1980.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Valentine Faure pour l’édition papier du journal Le Monde datée du 15 décembre.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 34, 15 septembre-15 octobre 1979, p. 3-4
Début septembre, était déclenchée à Alger une vaste campagne pour lutter contre la délinquance et la malpropreté dans la ville. Cette campagne devait s’étendre aux villes d’Oran, de Constantine, etc., les jours suivant.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux Puf.
Mon entretien avec Romain Masson, à propos de mon dernier ouvrage Histoire algérienne de la France (Puf), est en ligne depuis ce matin sur le site de la revue Le Comptoir.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 4, octobre 1976, p. 5
Un des rares amendements fait par les bureaucrates bourgeois à l’Avant-projet de Charte nationale, est relatif à la religion. L’Islam a été proclamé religion d’État. On apprend (toujours dans la Charte) que l’Islam est une des caractéristiques principales du socialisme, tel que le conçoivent nos exploiteurs.
Article d’Albert Roux paru dans La Quatrième Internationale, n° 4, février 1966, p. 4
Au moment où, à la faveur des manifestations suscitées par l’affaire Ben Barka, les étudiants d’Alger relancent, avec beaucoup de courage et, semble-t-il, une certaine efficacité, l’action contre le régime du 19 juin, il est particulièrement intéressant de lire — ou de relire — l’excellente brochure de 96 pages que Daniel Guérin vient de faire paraître il y a à peine un mois.
Article paru dans Libre Algérie, n° 18, novembre-décembre 1988, p. 15
♦ HOCINE AIT AHMED (« Fils de la Toussaint » et animateur du Front des forces socialistes)
« Je rends responsable le pouvoir algérien de n’avoir pas écouté et apprécié le dynamisme de la jeunesse de son pays, et d’avoir au contraire, au fil d’un quart de siècle, tout fait pour dépolitiser, infantiliser et démoraliser la jeunesse. (…) Je considère qu’il n’y a pas un seul exemple de parti unique dans le monde qui ait géré convenablement l’économie et le développement du pays et que seul l’essor d’un processus de démocratisation pourrait éviter que l’Algérie ne devienne l’homme malade de la Méditerranée occidentale. (…)
Tract de la Fédération pour une gauche alternative daté d’octobre 1988 à Paris
Fédération pour une gauche alternative (F.G.A)
VIVE L’INTIFADA EN ALGERIE !
HALTE A LA REPRESSION !
SOLIDARITE, ELECTIONS LIBRES, ASSEMBLEE CONSTITUANTE !
Au « ras-le-bol » général du peuple algérien, à l’insurrection de sa jeunesse, le pouvoir bureaucratique et militaire n’a su que montrer son véritable visage : pour toute réponse la force, la répression bestiale, le tir à vue.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la parution d’une nouvelle recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) signée Akram Belkaïd pour Le Monde diplomatique de décembre.
Tract daté du 13 octobre 1988 à Paris
« Bien entendu nous n’allons rien faire. »
(Claude Cheysson, ministre des Affaires étrangères de Mitterrand, à propos du coup d’Etat en Pologne de décembre 1981.)
Dans le mouvement d’importantes grèves ouvrières, la jeunesse d’Algérie a pris la rue en dirigeant essentiellement ses assauts contre le Parti-État et les signes de sa domination : sièges du FLN, police, administrations, galeries marchandes du luxe — ces « vitrines de l’Algérie » —, et centres de distribution de la pénurie planifiée. Elle a attaqué les agences d’Air Algérie et d’Air France, accoutumées à transporter les jeunes Algériens au travail en France et les « délinquants » immigrés dans les geôles algériennes ou au travail forcé du service militaire.
Tract signé « Des canailles » daté du 10 octobre 1988 à Paris
SI LES ARGUMENTS FONT COULER DE L’ENCRE, LES PREUVES FONT DEJA COULER LE SANG
LA RACAILLE ETATIQUE ici applaudit des deux mains le recours à la mitraille en ALGERIE tout comme en 1945 elle applaudissait les massacres de SETIF et GUELMA écrasant une insurrection dans le CONSTANTINOIS, tout comme elle le fit en MAI 1988 lors de l’assaut de la grotte d’OUVEA en NOUVELLE-CALEDONIE par la piétaille GENDARMESQUE.
Tract des Amis de l’intifada algérienne, octobre 1988
Alors qu’après les massacres de cette semaine les arrestations massives (4000), les tortures et les lourdes condamnations (4, 6 et 8 ans pour les émeutiers d’Annaba) se succèdent, politiciens et pleureuses médiatiques, par leurs déclarations mensongères, brouillent le sens évident des « évènements » d’Algérie : c’est une véritable révolution sociale qui a commencé là-bas !
Tract daté du 13 octobre 1988 à Paris
En s’attaquant directement à l’Etat, les émeutiers algériens ont su désigner l’origine de tous leurs maux. En incendiant et détruisant : commissariats, tribunaux, mairies, sièges du FLN, souk el fellah, banques, écoles, ministères, agences de voyage, hôtels de luxe, quartiers réservés aux loisirs des bureaucrates, ils ont clairement posé les bases d’une révolution sociale.
Article de Gérard Nidraux paru dans Voix ouvrière, n° 35, 6 avril 1965, p. 6-8
D’UN CONGRES A L’AUTRE.
Le deuxième congrès de l’Union générale des travailleurs algériens vient de se tenir à Alger.
L’U.G.T.A., créée en février 1956, en pleine guerre d’Algérie, est restée jusqu’à l’indépendance un appareil de militants extérieur au pays, coupé de la base. Le syndicalisme ne prit une existence réelle en Algérie qu’après l’indépendance. Cette évolution reçut un coup d’arrêt au premier congrès de l’U.G.T.A. en janvier 1963.
Article paru dans Voix ouvrière, n° 46, 2 novembre 1965, p. 3
CHEZ U.C.L.A.F.
VIVENT LES TRAVAILLEURS ALGERIENS !
Le racisme est une des plaies les plus honteuses de la classe ouvrière. Il s’exerce en général contre tous les travailleurs étrangers et contre les Nord-Africains en particulier. La récente affaire de viol d’une jeune femme par sept individus a déclenché une vague d’indignation qui s’est canalisée contre les Nord-Africains en général. On ne cherche pourtant pas des poux sur la tête aux Lyonnais aux Bretons, ou aux Corses, tous « bons Français » lorsque l’un d’entre eux commet une agression, un viol ou autre délit.
Je suis heureux d’annoncer à mes amis et lecteurs la tenue d’une nouvelle rencontre autour de mon dernier ouvrage, Histoire algérienne de la France, qui vient de paraître aux PUF.
Retrouvez aujourd’hui dans Reporters la troisième et dernière partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de mon ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux PUF.
Je serai l’invité du Forum Latitude, organisé par la librairie 47 degrés Nord, qui se tiendra à Motoco : 13, rue de Pfastatt, 68200 Mulhouse.
J’interviendrai ce samedi 19 novembre à 13h (salle 2) dans le cadre de la conférence intitulée « FRANCE-ALGÉRIE : FAIRE LA LUMIÈRE SUR LE PASSÉ ».
Le journal Reporters a publié aujourd’hui la deuxième partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de mon dernier ouvrage Histoire algérienne de la France qui vient de paraître aux Puf.
Article de Christian Jung paru dans Voix ouvrière, n° 41, juillet 1965, p. 1 et 4
IL y a maintenant près d’un mois que Ben Bella a été arrêté, mais l’on chercherait vainement, dans les déclarations de Boumedienne, les raisons politiques du coup d’état. Les critiques formulées par celui-ci sont restées on ne peut plus imprécises et de tout ce qui a été dit, il ne ressort qu’une chose, c’est que dans tous les domaines, la politique de Ben Bella était « mauvaise » et qu’il convenait de lui substituer une politique « juste » !
Interview de Mohammed Harbi parue dans Alternative libertaire, n° 87, juin 2000, p. 23
Alors que le président Bouteflika se rend en France au mois de juin, Alternative libertaire s’est entretenu avec Mohammed Harbi, universitaire, ancien dirigeant (jusqu’en 1965) du FLN et animateur de son courant autogestionnaire pour faire le point sur la situation politique, économique et sociale en Algérie.
Article de Jean-Claude Kerjouan alias Jacques Morand paru dans Voix ouvrière, n° 40, 29 juin 1965, p. 1 et 8
S’IL était sans aucun doute impossible de prédire l’heure, la date et le lieu du putsch du colonel Boumédienne — sauf peut-être pour certains « privilégiés », tel le gouvernement français, que des émissaires du chef de l’armée algérienne auraient discrètement sondé sur ses réactions probables quelques jours auparavant — une telle éventualité n’était pourtant pas imprévisible.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de ma participation à l’émission Dima M3a Com – ديما معاك diffusée en direct ce vendredi 11 novembre à 19h sur DIMA TV…
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution, ce matin, d’une recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) sur l’incontournable site À contretemps.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs que je serai l’invité de l’émission « Trous Noirs », diffusée en direct ce lundi 7 novembre, de 16h à 18h, sur Radio Libertaire (89.4 MHz FM à Paris).
Le journal Reporters a publié dans son édition du 1er novembre 2022 la recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) ainsi que la première partie de mon entretien avec Faris Lounis autour de cet ouvrage.
Je suis très heureux de pouvoir annoncer la mise en ligne, ce matin, de mon entretien avec la journaliste Leïla Beratto pour son podcast L’Horizon au sujet de mon Histoire algérienne de la France (Puf).
L’enregistrement est accessible sur la plateforme ARTE Radio en cliquant sur ce lien.
Article signé Jean-Claude paru dans Le Monde libertaire, n° 589, 4 avril 1985, p. 8
DEPUIS plus de vingt ans, l’Algérie est indépendante. La bureaucratie et la bourgeoisie nationale ont pris le relais des colons français pour exploiter à leur tour le peuple. La situation économique, sociale et politique est catastrophique. Le bilan pour les travailleurs est donc bien maigre.
Article signé Jean-Claude paru dans Le Monde libertaire, n° 588, 28 mars 1985, p. 8
LE F.L.N. comme si vous y étiez. Ce parti obéit à la même logique qui mène tous les partis. Chadli Bendjedid, actuel responsable du parti, après Boumediene, a imprimé à l’Algérie de 1985 un caractère réaliste, remettant en cause la politique économique de l’après-révolution. De cette révision découle un revirement d’alliances. Et pour ce faire, il y a eu nécessité d’une épuration dans l’appareil gouvernemental. La deuxième partie de cet article fera le point sur le situation du socialisme algérien et le façon dont il est vécu par la population.
J’ai le plaisir d’informer mes amis et lecteurs de la parution, hier, d’une recension de mon Histoire algérienne de la France (Puf) sur l’excellent site Ni patrie ni frontières.
Article de Pierre Lecomte paru dans Informations ouvrières, n° 1325, semaine du 22 au 29 juillet 1987
C’EST volontairement que nous avons attendu, pour écrire, que le verdict soit prononcé. Verdict qui, les lois aidant, a sauvé la vie du tortionnaire nazi. Par leurs dépositions, les témoins qui ont souffert le martyre des camps et des tortures ont fait passer le souffle de la vérité. Bien que nous rejetions entièrement ses vues politiques, il faut également signaler la phrase prononcée par Chaban-Delmas : « Qui peut ici lever la main et dire qu’il n’aurait pas parlé sous la torture ? »
Interview de Mohammed Harbi réalisée par Jean-Jacques Laredo et parue dans Rouge, n° 1133, 2 au 8 novembre 1984, p. 8-9
Mohammed Harbi est né dans le Nord-Constantinois en 1933. Il adhère au PPA-MTLD à l’âge de quinze ans et deviendra membre de la direction de la fédération de France du FLN. Après avoir occupé les fonctions de secrétaire général au ministère des Affaires extérieures puis de conseiller à la présidence de la République après l’indépendance, il est emprisonné pendant cinq ans sans jugement pour son opposition au coup d’Etat de 1965. Il vit en exil en France depuis 1973.
Éditorial paru dans Le Monde libertaire, du 30 novembre au 6 décembre 2000.
La pratique de la torture et la liquidation physique des opposants algériens à la colonisation française a donc été un fait quotidien tout au long de la guerre d’Algérie. Les aveux publics d’au moins deux généraux directement impliqués dans ces assassinats font qu’aujourd’hui l’État français va devoir digérer cette ignominie pour sauver l’essentiel, à savoir la pérennité de l’armée et des services secrets barbouzes.
J’aurai le plaisir de présenter mon dernier livre, Histoire algérienne de la France (Puf), ce mercredi 26 octobre à 18h à l’Auditorium de la Bibliothèque nationale et universitaire : 6, place de la République 67070 Strasbourg.