Interview de Denis Berger pour Libre Algérie, n° 18, novembre-décembre 1988
Libre Algérie — Denis Berger, que vous inspirent les événements tragiques que vient de connaître l’Algérie ?
Interview de Denis Berger pour Libre Algérie, n° 18, novembre-décembre 1988
Libre Algérie — Denis Berger, que vous inspirent les événements tragiques que vient de connaître l’Algérie ?
Interview de Lafif Lakhdar parue dans Spartacus, n° 2, mars-avril 1976, p. 10-12
Un de nos amis a rencontré Lafif Lakhdar, de passage à Paris. Son activité révolutionnaire se situe au Moyen-Orient et nous lui avons demandé de répondre à quelques questions.
Interview de Mohammed Harbi réalisée par Salah Jaber (Gilbert Achcar) et Sophie Massouri pour Inprecor, n° 333, du 21 juin au 4 juillet 1991, p. 6-8
Le nouveau Premier ministre algérien, Sid Ahmed Ghozali, a annoncé, le 18 juin 1991, la composition de son gouvernement, composé essentiellement de technocrates et sans la participation significative d’aucune autre formation politique en dehors du Front de libération nationale (FLN).
Mohammed Harbi est historien* de la révolution algérienne, à laquelle il a participé activement. Militant du FLN avant l’Indépendance, Mohammed Harbi a occupé des fonctions gouvernementales sous la présidence d’Ahmed Ben Bella (dans le cabinet civil du ministère des Forces armées en 1959-60 ; comme ambassadeur en Guinée en 1961 ; en tant qu’expert aux premières négociations d’Evian en 1961 ; comme secrétaire général du ministère des Affaires étrangères en 1961-62 ; puis, comme conseiller à la présidence de la République entre 1963 et 1965 ). En 1965, il s’est opposé au coup d’Etat d’Houari Boumédiene et a été emprisonné pendant cinq ans, puis en résidence surveillée et exilé. lnprecor l’a rencontré pour recueillir son point de vue sur les origines de la crise actuelle qui secoue l’Algérie.
Interview de Messali Hadj recueillie par Paul Roos, Oise Actualités, 21-22 octobre 1966.
Habitant maintenant une modeste maisonnette dans un quartier ouvrier de Lamorlaye, le leader nationaliste algérien Messali Hadj, chef du P.P.A. – qui fut, rappelons-le, le premier à réclamer l’indépendance pour l’Algérie et ce au début des années 20 – a bien voulu rompre un silence de plusieurs mois pour répondre aux questions que nous sommes allés lui poser sur deux sujets d’une brulante actualité : l’affaire Ben Barka et les dissensions au sein du gouvernement de l’Algérie d’aujourd’hui.
J’ai accepté l’invitation d’Eric Bataillon pour son programme “Orient hebdo” sur RFI, radio du service public. L’interview, enregistrée le 14 octobre, a été diffusée le 5 novembre et demeure réécoutable en ligne (lien).