Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la parution, dans le 57e numéro de la revue ContreTemps (avril 2023), de mon article intitulé : « Notes sur la « crise » de la gauche (première partie) »

Je suis heureux d’annoncer à mes amis, camarades et lecteurs la parution, dans le 57e numéro de la revue ContreTemps (avril 2023), de mon article intitulé : « Notes sur la « crise » de la gauche (première partie) »
Article de Karim paru dans Courant alternatif, n° 43, novembre 1994, p. 11-15
1994 est l’année du 40e anniversaire du déclenchement de la guerre d’Algérie (le 1er novembre 1954).
Dans une conjoncture catastrophique, le gouvernement entend donner à cet événement une dimension importante.
Ainsi, 800 millions de Dinars seront destinés aux célébrations et commémorations qui rappelleront la période de la lutte pour l’indépendance.
Mais quarante années plus tard, quel bilan peut-on dresser ? Une question demeure, l’Algérie est-elle, depuis 1962, réellement un pays souverain, indépendant ? La nation algérienne tout entière n’est-elle pas engagée dans un processus qui la conduit à une domination et à une soumission par et pour les pays « riches » et leurs institutions internationales ?
Article d’Erdan Tan paru dans Inprecor, n° 393, juillet 1995, p. 12-13
L’année 1994 en Turquie a été incontestablement l’année du Refah Partisi (Parti de la prospérité, RP islamiste), en raison de sa victoire aux élections municipales du 27 mars 1994. Dès lors, la gestion des affaires par le RP et le spectre d’une prise de pouvoir par ce parti ont été au centre de tous les débats. Un an après, il convient de dresser un premier bilan.
Article de Gilbert Achcar signé Salah Jaber et paru dans Inprecor, n° 311, du 15 au 28 juin 1990, p. 36
Les élections locales (conseils communaux et départementaux) du 12 juin, en Algérie, se sont soldées par un score impressionnant des intégristes du Front Islamique du salut (FIS) : ils ont arraché la plupart des grandes villes du pays au Front de libération nationale (FLN), jusque-là parti unique à tous les échelons du pouvoir. Ces élections étaient les premières, depuis l’indépendance algérienne en 1962, à se dérouler sur fond de libertés politiques réelles et de multipartisme. L’opposition libérale et l’opposition de gauche avaient cependant appelé au boycott, jugeant que la partie était inégale contre le FLN. Le résultat des élections, malgré un taux d’abstention de près de 40 %, permet de s’interroger sur l’opportunité de ce choix.
Article de Saïd Akli paru dans Inprecor, n° 275, 31 octobre 1988, p. 23-26
QUELQUES JOURS seulement nous séparent de la fin du soulèvement national de la jeunesse populaire. Alors que les 500 nouveaux Chouhadas (martyrs, en arabe) n’étaient pas encore tous enterrés, que des milliers de manifestants soignaient leurs blessures ou croupissaient entassés dans les prisons, le pouvoir des assassins annonçait un référendum national pour le 3 novembre 1988. Le peuple algérien est appelé à approuver immédiatement une première réorganisation du pouvoir exécutif, au terme de laquelle le Premier ministre, choisi par le Président, formerait un gouvernement « sans exclusive aucune » qui serait responsable devant l’Assemblée nationale.
Article paru dans Le Prolétaire, n° 97, 1er février-14 février 1971, p. 1-4
Chacun sait que les difficultés surgies entre la France et l’Algérie au sujet du prix du pétrole ont inauguré une demande de hausse plus générale de la part des pays producteurs. La bourgeoisie des grands pays capitalistes crie son indignation tandis qu’en face on parle de pillage et d’impérialisme.
Parions cependant que les adversaires parviendront à un résultat « honorable pour tous ». En effet, les moyens de pression des Compagnies pétrolières sont puissants et leurs soi-disant opposants, trop corrompus pour être vraiment dangereux.
Textes parus dans Informations et réflexions libertaires, n° 52, octobre-novembre 1983, p. 3-4 et p. 19-23
Le programme commun anti-immigrés des grandes familles politiques est de plus en plus d’actualité. Il se précise et prend corps non seulement à travers les mesures prises par la mairie de Paris, mais aussi par un accord Mauroy-Chirac pour un « consensus national » sur l’immigration. En quelques mois, la xénophobie latente et douce apparaît au grand jour avec les attentats racistes de cet été, la victoire du front droite-extrême-droite à Dreux et l’alliance gauche-droite. En quoi la xénophobie de la société française nous interpelle et quel obstacle pose t-elle au projet libertaire ?
Textes parus dans La Banquise, n° 3, été 1984, p. 7-10
IL Y A DE PLUS EN PLUS D’ÉTRANGERS DANS LE MONDE
Ces temps-ci les racistes se font plus arrogants et l’Etat de gauche les encourage puisqu’il a repris à son compte le slogan d’extrême-droite : « la France aux Français ».
Mon dernier texte intitulé « Contre le virus capitaliste et sa société désolante » a été mis en ligne aujourd’hui sur le site du bulletin de critique bibliographique À contretemps.
« Ce qui précipite si facilement les hommes vers les mouvements totalitaires et les prépare si bien à une domination de ce type, c’est la désolation partout croissante. » Hannah Arendt
Mon dernier texte intitulé « Iran : pour en finir avec le mythe de la révolution islamique » a été mis en ligne aujourd’hui sur le site de Middle East Eye.
Article de J. C. publié dans Echanges, n° 86, janvier-mars 1998, p. 46-50.
Extrait de l’article paru dans Jeune Taupe, n° 10, juin 1976, p. 17-18
Article paru dans El Ouma, n°46 [janvier 1937].
La crise mondiale du capitalisme et ses douloureuses répercussions sur le sort déjà manifestement misérable de notre peuple, victime depuis 1830 d’un colonialisme dépossesseur et sanglant, jointes aux derniers événements à caractère évolutif du peuple de France que celui d’Algérie appelle à l’aide à la compréhension, restent pour notre jeunesse autant de sujets d’attention d’un enseignement utile, d’une influence bien marquante.