Article paru dans Le Libertaire, 4 juillet 1925

(Lettre d’un camarade bulgare).
Depuis longtemps je devais vous écrire – vous décrire les horreurs de la réaction qui sévit. Si je ne pus pas vous écrire jusqu’à présent, c’est à cause des circonstances créées par les derniers événements. Il nous est interdit toute possibilité de communication tant avec les camarades de province qu’avec l’étranger.
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