Article de Catherine Rivier paru dans La Voie communiste, supplément au n° 25, novembre-décembre 1961, p. 2 ; suivi de « Le sang de nos frères » par P. Digal
C’est aux militants français de se mettre à l’école du F.L.N. pour entraîner les masses dans la rue.
DEPUIS le mois d’octobre, la répression est passée dans le domaine public. France-Soir a décrit les matraquages d’Algériens au Palais des Sports, le Figaro a déploré, le Sénat a posé des questions. Et, pour parachever cette unanimité, l’O.A.S. a publié un communiqué condamnant ces « incidents inadmissibles ».