Article de Chawki Salhi paru dans Inprecor, n° 356, du 3 au 16 juillet 1992, p. 3-5

C’est à quelques jours des festivités du trentième anniversaire de l’Indépendance que Boudiaf, président du Haut comité d’Etat (HCE), institué après le coup de force du 11 janvier 1992, a été assassiné à Annaba. En ce matin du lundi 29 juin 1992, il présidait une réunion et faisait campagne pour son « rassemblement patriotique », alors même que son régime interdisait les réunions et les manifestations aux autres courants politiques (1).
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.