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Il y a 30 ans, la fin de la guerre d’Algérie : Dix-sept octobre 61

Article en deux parties paru dans Alternative libertaire, n° 6, 1er février 1992, p. 8 et n° 7, mars 1992, p. 8

RETOUR SUR UN MASSACRE

Le 30 novembre dernier, près de cent cinquante personnes ont participé au Forum-débat organisé par le collectif Alternative Libertaire de Montreuil (Seine-Saint-Denis) avec Agnès Denis, Nicole Rein, Anne Tristan, Didier Daeninckx, Jean-Luc Einaudi.

Ce fut donc un succès, pour une modeste réunion de quartier. Après la projection du film « Le Silence du Fleuve », une discussion souvent passionnantes est engagée entre la salle et les intervenants. Nous en publions ici quelques extraits.

LA « SALE GUERRE »

Jean-Luc Einaudi : En septembre 58, il y avait eu un premier couvre-feu, décrété par Maurice Papon, des rafles massives, plusieurs Algériens avaient été internés au Vel’ d’Hiv’… A l’époque, certaines voix s’étaient élevées pour dire que de terribles violences avaient été commises, au Vel’ d’Hiv’ et au gymnase Japy, que des Algériens y avaient été tués. Le Libération d’alors avait formulé ces accusations et demandé qu’une commission d’enquête soit constituée. Papon avait répondu qu’il s’agissait là « d’allégations sans fondements ». J’ai par ailleurs recueilli des témoignages qui décrivent, en 1959, au camp crée en plein bois de Vincennes, des scènes tout à fait comparables à ce que l’on va voir se généraliser dans un paroxysme de haine le 17 octobre.

En mars 58, il y avait eu une manifestation de policiers parisiens dont les mots d’ordre étaient « mort aux Fellaghas » et « à bas les Juifs ». Il n’y avait pas eu, à ce moment là, un seul attentat du FLN à Paris ni en France. Les seules expressions armées étaient du fait de la guerre FLN-MNA qui fût une guerre sanglante et terrible, faisant des milliers de victimes en France même.

La répression s’est effectuée au faciès, si bien qu’il n’y a pas eu que des Algériens qui ont été tués, mais aussi beaucoup de Marocains et de Tunisiens, et même des Italiens, en 1958. Cette même année, une descente de flics dans un café du 4ème arrondissement tenu et fréquenté par des Juifs d’Afrique du Nord a donné lieu à un carnage. Les types disaient : « Hitler n ‘en a pas tué assez ».

Au niveau de l’État, il y avait un grave conflit sur la question algérienne entre Debré et de Gaulle. Celui-ci avait décidé en septembre 61 de « lâcher » sur la question du Sahara : jusque là, les négociations entre Je gouvernement français et le GPRA coinçaient sur cette question, d’énormes intérêts pétroliers, militaires et stratégiques étaient en jeu, De Gaulle avait cédé sur le Sahara : il ferait partie du futur État algérien, la France conservant cependant un certain nombre de positions… C’est là que s’effectuaient les premiers essais nucléaires. Or, Debré n’avait pas été informé d’une décision aussi importante ! Il l’apprend au cours d’une conférence de presse que donne de Gaulle, et donne aussitôt sa démission. Mais un ou deux jours après, l’OAS signe son premier attentat… contre le Président. Debré ajourne sa décision, indique qu’il démissionnera « dès que possible ».

HISTOIRE COLONIALE

Didier Daeninckx : Dans toute l’histoire coloniale française, la conquête des territoires a été absolument meurtrière. Dans certains endroits, cela ressemblait à du génocide. La conquête de l’Afrique noire est une histoire qui n’est pratiquement pas écrite. Des tribus entières ont été massacrées. Par dizaines de milliers, des gens l’ont été par le portage, par la maladie, comme les Indiens… Tout cela est passé par pertes et profits. Surtout par profits ! Il y a un effacement de l’histoire coloniale. Et puis, pour la maîtrise des territoires, des épisodes incroyables, en particulier en 14-18. En 1917, c’est par dizaines de milliers que les Africains du Nord et de l’Ouest refusent d’aller à la guerre pour se faire massacrer en Champagne. Il y a des maquis qui se créent, qui vont durer jusqu’en 1922-23, et l’armée française va être dégarnie de certains fronts en 14-18 pour aller combattre en Afrique, afin de conserver les territoires réduire ces maquis.

On peut ensuite remonter à Sétif, Madagascar… On voit l’étendue de la répression qui a été nécessaire pour que la République française… reste un empire ! Avec le 17 octobre, d’un seul coup, les sujets de cet empire, qui sont ici, traités comme des esclaves dans les usines de la région parisienne, des gens de seconde zone, s’affirment soudain en tant qu’êtres humains au cœur même de l’empire, de ce qu’il en reste en 1961.

C’est un symbole extraordinaire de voir ces gens qui manifestent en plein Paris : l’objectif de la manifestation est la Place de l’Étoile, le cœur du régime qui oppresse.

Nicole Rein : Ma première surprise a été de découvrir, en discutant avec un Algérien, ce qu’évoquait pour lui le 8 mai 45 : c’était le massacre de Sétif, où il y a eu de 10 à 40 000 morts… pour moi cette date était celle de la victoire sur les nazis : j’avais fait des études mais je n’en avait jamais entendu parler !

INTOX, TORTURE ET RÉPRESSION

Nicole Rein : Il y avait des camps en Algérie. Des gens y étaient torturés et cette pratique était généralisée. Les avocats dénonçaient cela mais la torture était presque considérée comme normale. Nous n’avions même pas le droit de dire que c’était la guerre !

Dès le début de l’année 61, il y avait des ratonnades, des lieux de torture en plein Paris, tenus par la police et les Harkis qui avaient été organisés. Cela se passait dans des caves, en particulier dans le 18ème arrondissement. De très nombreuses plaintes avaient été déposées. Les gens torturés étaient cachés, certains sont morts dans ces caves, d’autres étaient cachés sous le Palais de Justice.

Les journaux mentaient. On nous parlait toujours des populations algériennes terrorisées par le FLN. Il faut comprendre à quel point on subissait cette propagande. Autant les journaux en France ont parlé des morts de Charonne, autant les 200 morts du 17 octobre sont passés quasiment inaperçus à l’époque.

Anne Tristan : Pour le film « Le Silence du Fleuve », on a retrouvé les flashes de l’ancêtre de Radio-France, Inter-Actualités. C’est à l’image de ce que la presse dit le lendemain du 17 : « Le FLN, les Musulmans occupent Paris ». C’est un événement tourné en émeute, en troubles à l’ordre public. Dans les flashes des jours suivants, les Algériens sont présentés comme des troupeaux manipulés par le FLN ; la manifestation des femmes est ainsi commentée : « L’intervention de la police a permis de soustraire pendant quelques heures ou une journée ces femmes à la terreur du FLN »… Nous n’avons pu, malheureusement, extraire aucune archive d’Europe 1 : elles sont toutes entre les mains d’individus qui les conservent en ne les mettant même pas à la disposition de leur propre radio !

Didier Daeninckx : Sur la presse de l’époque, il faut se remettre dans le contexte : c’est la censure et la saisie. Ainsi, il y a des articles ou des photos en blanc, dans le corps du texte il manque parfois des mots. Depuis des années l’information est complètement muselée par le pouvoir, policier et militaire.

La répression est entrée dans le quotidien depuis longtemps : à Aubervilliers, il y a un hôtel, rue des Cités, qui a été réquisitionné, et où les Harkis torturent dans les caves. Cela se passe aussi à Romainville, Noisy-le-Sec, Nanterre… La population immigrée est soumise à la terreur au quotidien, dans les quartiers.

LE 17 OCTOBRE

Nicole Rein : Le 17 octobre, tous ces milliers de manifestants en plein Paris permettaient d ‘en finir avec ce mensonge, ce climat. Selon moi, c’est une des raisons qui explique la violence atroce. C’était dans un sens la réponse du FLN à la France : quasiment tout le peuple algérien veut l’indépendance, est de tout cœur avec le FLN. C’était une gifle extraordinaire face à la propagande du pouvoir.

Jean-Luc Einaudi : Il faut rappeler que les massacres se sont poursuivis durant plusieurs jours. Le 17, les Algériens ont manifesté mais la répression, avec toute sa sauvagerie, s’est poursuivie le 18, le 19, le 20,jusqu’à la fin de la semaine, et notamment au Palais des Sports. On a tué des gens durant plusieurs jours. L’idée selon laquelle la police aurait été débordée est un mensonge. C’est un massacre qui a été commis, à froid, délibérément.

Il y avait une volonté politique de détruire la fédération de France du FLN, c’était notamment celle de Michel Debré. A la fin août 61, le départ du Garde des Sceaux Edmond Michelet, qui était pour d’autres rapports avec les colonisés et dont Debré voulait la peau, va permettre l’intensification de la répression. C’est Debré qui avait décrété la constitution de la Force de police auxiliaire (FPA), les supplétifs, qui pratiquaient la torture en plein Paris dès 1959. Debré voulait des têtes.

Dès septembre 61, Debré n’a sans doute jamais dit « Noyez-les ! ». Cela relève d’autre chose, essentielle : la haine raciale au sein de la police, une police qui avait en ce domaine de vieilles traditions.

Et puis il y a eu le rôle de Papon : s’il ne faut surtout pas faire de Papon un cas particulier, il symbolise assez bien la continuité de l’État. Le mot d’ordre général de Papon était : « Vous avez carte blanche, vous serez couverts ». En faisant une tournée des commissariats à la demande de Gérard Monate, dirigeant syndical de la police, il avait dit au commissariat de Montrouge : « N’hésitez pas à tirer les premiers si vous vous sentez menacés. Le patron qui viendra sur place aura tout ce qu’il faut sur lui pour qu’on dise que c’était de la légitime défense ». Partant de là tout était permis. Puis il y a eu la fameuse phrase : « pour un coup reçu vous en porterez dix ». Papon voulait seulement conserver une apparence de légalité.

Il était sur place le 17 octobre, c’est lui qui supervisait les opérations. Au Palais des Sports un de ses adjoints était présent alors qu’on massacrait. Un flic est intervenu pour que cela cesse : en vain. Papon était dans la salle de commandement de la

Préfecture, et parfaitement au courant que sur les ondes-radios de la police, dans la nuit du 17, circulaient des informations mensongères faisant état de policiers tués, intox qui a duré toute la soirée… Il était semble-t-il à la Préfecture quand plusieurs de dizaines d’Algériens ont été tués. Il a couvert (et de Gaulle aussi, bien sûr, en s’opposant à la création d’une commission d’enquête) et légitimé l’action de sa police : « Le 17 octobre vous avez remporté la victoire sur le terrorisme algérien ».

Le 17 octobre, c’est 200 morts qui ont été étouffés, Il y a eu des violences terribles qui se sont passées clans la rue, au vu et au su de tout le monde. Mais les assassinats, ces 200 – probablement plus, autour de 300 personnes tuées -, ces crimes là ont été commis hors de tout regard, et notamment dans l’enceinte du Palais des Sports. Il n’y a que quelques appelés du contingent, notamment des séminaristes, qui ont voulu faire savoir et se sont heurtés à l’impossibilité de se faire entendre. Un d’entre eux a vu 9 cadavres d’Algériens jetés dans un local à poubelles ; un Algérien se faire abattre à la mitraillette par un gendarme mobile alors qu’il était en train de pisser ; on a torturé au Palais des Sports.

Les Algériens, projetés des cars, passaient entre des rangées de policiers qui se relayaient et les massacraient littéralement, en tapant aux parties sexuelles avec des planches. Les types s’écroulaient et à ce moment là on leur tapait sur la tête. C’est ainsi qu’un certain nombre, sans doute élevé, a été tué.

Il y avait un véritable climat de terreur, le 17 octobre, les gens qui ont voulu témoigné dans la rue leur simple humanité ont été souvent victimes eux aussi de violences policières. Les médecins qui délivraient des certificats médicaux aux Algériens victimes de sévices recevaient des menaces de mort.


Suite et fin des interventions du Forum-débat organisé par les militants montreuillois d’Alternative libertaire le 30 novembre dernier autour du massacre des Algériens perpétré par la police de De Gaulle.

LE PCF, LA GAUCHE ET L’ANTICOLONIALISME

Jean-Luc Einaudi : La direction du PCF savait, avant le 17 octobre, que des manifestations allaient avoir lieu. Une rencontre a eu lieu, dans les jours qui ont précédé, entre des dirigeants de la fédération de France du FLN et des représentants de la direction du PCF. Les Algériens ont expliqué ce qui allait se passer. Il faut constater que dans les jours qui ont suivi le 17, il n’y a eu aucune initiative. Un communiqué curieux des organisations syndicales disant que si ça recommençait, elles appelleraient la population parisienne à descendre dans la rue ! Rappelons que le 17 des bus de la RATP avaient été réquisitionnés avec des chauffeurs RATP. Syndiqués ou pas, ces conducteurs n’ont pas brillé par leur refus d’obtempérer à la réquisition. La CGT a trouvé comme excuse que les employés de la RATP « ne savaient pas », qu’ils avaient été « trompés »…

En définitive, il n’y a eu que le PSU pour organiser clandestinement des rassemblements le 1er novembre l961.

Tout le long de la guerre d’Algérie il y a eu un certain nombre de « flottements », qui remontaient de loin de la part du PCF, concernant la question de l’indépendance. Les militants du PCF qui voulaient soutenir le FLN devaient rendre leur carte ou étaient exclus. Dans tous les cas, il ne s’engageaient qu’à titre individuel. La ligne du PC était opposée à la désertion : il fallait être « au cœur des masses » pour combattre la guerre. Résultat des courses : les gars partaient là-bas et étaient pris dans l’engrenage infernal.

Et puis il y a eu l’affaire des pouvoirs spéciaux qui ont contribué à l’intensification de la guerre en 1956, par le gouvernement à direction socialiste de Guy Mollet. Ces pouvoirs spéciaux ont été votés au nom de l’union socialo-communiste, en dépit de désaccords et d’états d’âme.

Jusqu’à ce jour, à ma connaissance, il n’y a pas le moindre regard autocritique sur cette affaire là.

Marco Sazzetti (Alternative libertaire) : Il faut revenir sur l’attitude de la gauche. Autant on peut dire que des militants se sont investis avec beaucoup de courage, autant la gauche au niveau de ses appareils n’a pas de quoi tirer gloriole sur toute la période 54-62. En novembre 54, quand se déclenche l’insurrection de la Toussaint, le ministre de l’Intérieur François Mitterrand déclare : « l’Algérie c’est la France ». La répression s’abat sur les Algériens, mais aussi très durement en métropole sur les militants révolutionnaires qui sont dès le départ aux côtés des insurgés. Ils sont peu nombreux : ce sont les militants communistes libertaires d’alors, nos camarades de la Fédération communiste libertaire (FCL), et les trotskystes du Parti communiste internationaliste. La FCL va très durement encaisser le choc de la répression, et très chèrement payer son soutien de la première heure à la révolution algérienne. Le premier militant ouvrier français à être emprisonné est membre de la FCL : c’est Pierre Morain. A plusieurs reprises, le journal le Libertaire va être saisi ; les communistes libertaires sont poursuivis, condamnés… Il n’est pas superflu de rappeler cela, et que l’anticolonialisme militant, politique, a été très minoritaire. On a besoin de vérité : à l’heure où les murs de Berlin et autres goulags tombent, il faut aussi que la gauche dans son ensemble regarde son passé…

La création du PSU est l’expression d’une rupture, avec le PS mouillé jusqu’au cou dans le colonialisme. Rupture qui s’opère aussi avec le PC. Il y avait dans la gauche française de vieilles habitudes nationalistes, et disons-le, colonialistes, c’est-à-dire de défense de l’Union française. Au nom d’un pseudo-internationalisme « prolétarien » – c’est le comble ! – on pouvait lire dans l’Huma de 54-55 que les travailleurs algériens n’avaient rien à gagner à sortir du giron de la France. C’était l’expression d’un paternalisme stalinien.

Enfin, la France n’arrive pas à regarder son passé colonial. Il est frappant de voir comment les États-Unis – dont on peut penser bien des choses – ont beaucoup moins refoulé la guerre du Vietnam. Le refoulement en France par rapport à la question algérienne est pratiquement intact. La montée du fascisme et du racisme a un rapport certain avec ce refoulement.

CONTINUITÉ DE L’ÉTAT

Jean-Luc Einaudi : Ce qui est en cause avec le 17 octobre, c’est une grande continuité de l’État. Il y a des complicités liées aux fonctions et beaucoup de choses trouvent leur origine au cours de l’occupation, ou même avant. Il y a continuité de l’État à travers des hauts responsables, hauts fonctionnaires mais aussi à travers de nombreux agents d’exécution. La rafle du Vel’ d’Hiv’, c’est la police française, et notamment parisienne qui l’a opérée. On ne peut toujours pas avoir accès aux archives concernant ces événements. C’est un corps de l’État qui est en cause. L’État français, celui de Pétain et de Vichy a continué pour l’essentiel à fonctionner avec de Gaulle puis les IVème et Vème Républiques.

Didier Daeninckx : Le personnage de Papon est particulièrement éclairant. En 44-45, il est réinjecté dans l’appareil d’État de la reconstruction. Cette récupération est faite par un réseau de l’Intelligence Service, par un nommé Claude Olivier qui lui attribue des certificats de résistance. Papon se retrouve à la tête de la Banque d’Indochine, partie prenante du dispositif colonial. Bousquet, qui fait la rafle du Vel’ d’Hiv’, actuellement inculpé de crime contre l’humanité est aussi un de ses administrateurs à la Libération et c’est ainsi qu’il se refait une virginité. Il devient ensuite PDG d’UTA (et Papon de Sud-Aviation…). Bousquet se présente aux élections législatives de 56 sous l’étiquette UDSR, le regroupement de Mitterrand, ainsi que Robert Hersant…

La raison d’État n’est pas seulement politique, mais masque aussi les liens du politique et des affaires.

Jean-Luc Einaudi : Pendant trente ans, on nous a dit que le massacre du 17 octobre n’avait jamais existé. Or maintenant on admet très largement le contraire. On a remporté quelque chose, ce n’est pas « la vérité » de Papon et Frey qui a eu le dessus. Il faut se battre !


Nicole Rein est avocate et a plaidé la cause des Algériens, s’est battu pour que la lumière soit faite sur les innombrables cas de tortures, de meurtres commis pendant la guerre d’Algérie en métropole.

Anne Tristan vient de publier un très beau livre le Silence du fleuve.

Agnès Denis est (avec Mehdi Lallaoui) la réalisatrice du film du même nom et était présente pour expliquer pourquoi ce film est aujourd’hui encore « invisible » sur nos chaînes de télévision.

Didier Daeninckx est bien sûr l’auteur, entre autres, de Meurtres pour mémoire et de nombreux romans policiers.

Jean-Luc Einaudi est l’auteur de la Bataille de Paris, un ouvrage indispensable pour comprendre ce qui s’est passé le 17 octobre 61.


Le collectif Alternative libertaire de Montreuil réédite, sous une forme augmentée et en grand format tabloïd, la brochure l’Insurrection algérienne et les communistes libertaires reproduisant les « unes » du Libertaire, le journal de la FCL. Dans cette brochure également, deux témoignages inédits de camarades communistes libertaires ayant activement participé au soutien à la cause algérienne ainsi qu’une contribution de Denis Berger sur l’expérience de la Voie communiste.

Prix : 30 F + 15 F de port. Attention chèques à l’ordre de : CROSNIER

A envoyer à Alternative libertaire – BP 177 – 75967 Paris cedex 20

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