Article de Jean Vita paru dans Le Libertaire, n° 251, 12 janvier 1951, p. 2
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POUR la noblesse de son style et de sa pensée qui contrastent tellement avec la manière constipée de Gide, Albert Camus a rapidement acquis sur la jeunesse de ce temps une influence virile et virilisante, qui relaie heureusement celle du tortueux Ménalque.