Article paru dans Le Libertaire, n° 400, 14 octobre 1954, p. 2
APRÈS les événements tragiques du 14 juillet 1953, place de la Nation, ou de nombreux Nord-africains tombèrent sous les balles des flics, la grande presse bourgeoise, la direction des usines Renault, le préfet de Police en personne et même certains calotins du coin comme la « Vie Nouvelle » de la banlieue sud s’apitoyèrent sur les conditions de vie misérable et les conditions d’habitation épouvantables de ces malheureux.
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