Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 922, 1er mai 1935.
A propos de mon compte rendu paru dans le numéro 9 de Pensiero e Volontà, du livre de Galleani, « La fin de l’anarchisme », le camarade Benigno Bianchi m’écrit :
« Je crois que tu ne m’en voudras pas de t’écrire pour attirer ton attention sur l’une de tes phrases qui pourrait provoquer un regrettable malentendu. Je fais allusion au deuxième alinéa des paroles de Galleani reproduites clans ton article.
« Dans le dit alinéa, Galleani parle de la nécessité de débarrasser à nos descendants le terrain des préjugés, des privilèges, des églises, des prisons, des casernes, des maisons de prostitution, etc. Pour cela, il faut détruire et non construire.
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