Article d’Hugues Panassié paru dans Les Cahiers du Sud, n° 288, 1er semestre 1948, p. 352-354
Aucun écrivain noir américain ne me paraît aussi doué, aussi profond que Richard Wright, dont la venue en France, l’année dernière, a été accueillie par une presse aussi bienveillante qu’incompétente, à en juger par les gloses fantaisistes publiées à droite et à gauche sur ses romans.