Article paru dans Alarme, n° 7, janvier-février-mars 1980, p. 10-11
« Mère » Térésa vient d’obtenir le prix Nobel de la paix. La télé, les grands moyens d’information du capital nous ont cassé les oreilles avec cette mystique.
Article paru dans Alarme, n° 7, janvier-février-mars 1980, p. 10-11
« Mère » Térésa vient d’obtenir le prix Nobel de la paix. La télé, les grands moyens d’information du capital nous ont cassé les oreilles avec cette mystique.
Article de Louis Mercier paru anonymement dans La Révolution prolétarienne, n° 121, novembre 1957, p. 1-2
J’ai choisi de partager dans ce billet deux textes publiés à la suite de l’attribution du Prix Nobel de littérature à Albert Camus. Après un premier billet dans lequel je revenais sur trois documents datés de 1955 à 1958, il m’apparaissait important de revenir sur la célèbre citation par laquelle les commentateurs (souvent hostiles) réduisent la pensée et l’action d’Albert Camus au moment de la révolution algérienne : « Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. »