Article paru dans Le Prolétaire, n° 378, juillet 1984, p. 14
Dans le style grandiloquent qui lui est habituel pour les grandes occasions, El Moudjahid du 14 juin annonce la libération par Chadli d’environ 90 détenus politiques “ayant commis des erreurs vis-à-vis de la Révolution et de la Patrie. (…) Une des plus grandes vertus d’une Révolution est de savoir accorder son pardon à ceux qui ont pu douter d’elle jusqu’à l’égarement et à l’inconséquence”.