Article d’Aristide Lapeyre paru dans Monde nouveau, n° 4, mai-juin 1946, p. 2
Il nous arrive de Mexico un texte de Péret pour nous prouver qu’il existe encore des hommes libres. Ce texte est la réaction naturelle d’un poète après la lecture d’un ramassis de mauvaises jérémiades intitulé dérisoirement : « L’honneur des poètes », paru pendant la clandestinité et dû à la collaboration de quelques troubadours stalino-chrétiens.