Mon dernier article intitulé « Algérie : le pacifisme est-il un signe de force ou de faiblesse du hirak ? », vient de paraître dans Le Monde libertaire, n° 1813, janvier 2020.

Mon dernier article intitulé « Algérie : le pacifisme est-il un signe de force ou de faiblesse du hirak ? », vient de paraître dans Le Monde libertaire, n° 1813, janvier 2020.

Mon dernier texte intitulé « ‘L’Algérie n’est pas la Syrie’ : au-delà du slogan et de la propagande » a été mis en ligne aujourd’hui sur le site de Middle East Eye.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 45, novembre 1980, p. 8-9.

On observe ces derniers temps une recrudescence des attentats racistes. Un jeune algérien a été poignardé à Bondy, des attentats ont été perpétrés contre le siège du MRAP (Mouvement contre le Racisme et l’Antisémitisme, pour la paix), contre une librairie « parallèle » à Marseille, et dernièrement rue Copernic, etc. Evidemment, ce ne sont pas là les premières manifestations de racisme en France. Ce qui est nouveau, c’est la revendication politique et publique par des groupes d’extrême droite, – comme l’ex-FANE -, des attentats qui sont commis. Seins doute à cause de la crise et du chômage jugent-ils la situation favorable pour proclamer ouvertement leur racisme, leur référence au nazisme, tout en l’accompagnant d’exactions.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 652, 25 octobre 1924

Je ne parlerai point de la manière dont peut être combattue et abattue la tyrannie qui opprime actuellement le peuple italien. Ici nous nous proposons de faire simplement œuvre de clarification des idées et de préparation morale en vue d’un avenir, proche ou lointain, car il ne nous est pas possible de faire autre chose. Du reste, lors même que nous croirions le moment venu d’une action plus effective… nous en parlerions encore moins.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 600, 28 octobre 1922.

Mon dernier article sur ce sujet a attiré l’attention de plusieurs camarades et m’a valu de nombreuses observations et de nombreuses questions.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 765, 9 mars 1929, p. 3.

Nous reproduisons ci-après une réponse de notre camarade Malatesta, qui s’adresse aussi bien aux chrétiens de la « non résistance » qu’à ceux de nos camarades qui, non contents de faire ressortir que faute de résister à la violence, nous en perpétuons le règne, se plaisent presque à imaginer qu’elle ne devra pas connaître de bornes et en font une apologie enflammée, qui est souvent cause que la masse se méprend sur nos idées. Nous voulons répondre d’une façon adéquate à tous les coups qui peuvent nous être portés, mais il doit être bien entendu que la première raison pour laquelle nous nions tout pouvoir politique, c’est qu’il ne peut subsister sans cette violence, dont nous poursuivons l’élimination au sein des sociétés humaines.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 742, 14 avril 1928, p. 2.

On pourrait écrire des volumes — sans épuiser la matière — sur les erreurs de pensée et d’action qui découlent des imperfections de langage : synonymes, mots équivoques, etc. Un exemple en est la confusion qui existe sur la question du droit de juger, précisément à cause de la double signification de ce mot.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 743, 1er mai 1928, p. 5.

Récemment, l’Avanti ! écrivait :
Les anarchistes qui, même selon les dernières déclarations d’Errico Malatesta, ne sont pas fauteurs de violence et ne visent pas à l’organisation de la force révolutionnaire pour la transformation violente de la société capitaliste… »
Article de Chafia paru dans Oiseau-tempête, n° 4, hiver 1998, p. 34

ON NE MESURE PAS ENCORE, aujourd’hui, les traumatismes qu’a subis la société algérienne durant les années de spoliation coloniale et les sept années de guerre contre la puissance française. Et lorsque les médias français réduisent, depuis des années, l’Algérie à cette autre guerre plus récente, ignorant délibérément le refus d’un peuple de soutenir l’un ou l’autre camp, niant les résistances sociales contre les plans d’une bourgeoisie insolente aujourd’hui et plus pressée aussi d’en découdre avec les « gueux », on peut se demander s’il ne s’agit pas d’une épuration d’une mémoire coupable. Comme si les atrocités d’aujourd’hui effaçaient celles d’hier, inscrivant la violence dans les gènes d’un peuple… On construit les murs que l’on peut contre l’histoire quand elle accuse.
Lettre de Jean-Paul Finidori parue dans La Révolution prolétarienne, n° 103, mars 1956, p. 3.

Article de Saïd Akli paru dans Inprecor, n° 274, 17 octobre 1988, p. 3-5

POUR LA PREMIERE FOIS depuis le coup d’Etat militaire du 19 juin 1965, I’Algérie connaît l’état de siège et l’armée a tiré sur les manifestants dans plusieurs villes du pays. La sauvagerie de la répression militaire a dépassé toutes les limites de l’imaginable, pour une population traditionnellement habituée à voir la presse et le télévision nationales dénoncer de telles pratiques en Israël, en Afrique du Sud, au Chili et ailleurs.
En seulement 6 jours, le soulèvement national de la jeunesse algérienne s’est déjà soldé par près de 500 morts (176 selon les sources officielles), des centaines de blessés et des centaines d’arrestations. Ce bilan provisoire très lourd exprime mieux que toute analyse, la consommation totale de la rupture politique entre les masses populaires et le pouvoir.
Saïd AKLI
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, mensuel de l’Organisation communiste révolutionnaire internationaliste d’Algérie, n° 45, novembre 1980, p. 5-7.

Nous avons établi dans notre précédent numéro la collusion existant entre la Fraternité Musulmane et la monarchie ; il nous faut aussi évoquer ses liens avec les représentants du colonialisme britannique.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.