Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 615, 19 mai 1923
A propos de la suppression de la « fête » du Premier Mai (1)
Le moment peut paraître mal choisi pour une polémique avec les socialistes.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 615, 19 mai 1923
A propos de la suppression de la « fête » du Premier Mai (1)
Le moment peut paraître mal choisi pour une polémique avec les socialistes.
Article de Georges Herzig paru dans Le Réveil socialiste-anarchiste, n° 10, 10 novembre 1900.
Si les travailleurs voulaient y réfléchir tant soit peu ils s’apercevraient bien vite que la participation à la vie politique, l’usage des droits électoraux que la bourgeoisie a bien voulu lui octroyer, dans son intérêt et pour diminuer les causes du mécontentement public, n’ont changé en rien ni la position historique du prolétariat vis-à-vis des autres classes, ni sa situation économique, restée inférieure, bien que, depuis cinquante-quatre ans de suffrage universel le sort des ouvriers ait défrayé la prose électorale de tous les partis politiques.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 743, 1er mai 1928, p. 5.
Récemment, l’Avanti ! écrivait :
Les anarchistes qui, même selon les dernières déclarations d’Errico Malatesta, ne sont pas fauteurs de violence et ne visent pas à l’organisation de la force révolutionnaire pour la transformation violente de la société capitaliste… »
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 907, 22 septembre 1934.
Chers compagnons,
Une feuille de langue française a voulu s’occuper de ce que j’ai dit dans la conférence antiparlementaire qui fut tenue, à Londres, le 3 du mois d’août, dans la salle du club Autonomie, et elle m’a fait dire à peu près le contraire de ce que j’ai dit réellement.