Deux tracts du Comité pour la libération de Messali Hadj suivis d’une réponse de la CGT de la Régie Renault « Pour la libération de Messali Hadj, contre la répression colonialiste », 14 octobre 1954
EN MAI 1952, UN HOMME EST ENLEVE PAR LES FORCES DE L’ORDRE.
Emmené en avion pour une destination inconnue, il est transporté à Niort (Deux-Sèvres). Interdit de séjour en vertu d’une condamnation qu’il subit SOUS VICHY, la France entière lui est interdite à l’exclusion de son département de « résidence ».