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Brahim : Algérie. A propos des émeutes de Constantine

Article de Brahim paru dans Le Monde libertaire, n° 652, 26 février 1987, p. 8

Un an après avoir été secouée par des tremblements de terre, Constantine l’a été par des émeutes. Des étudiants, des lycéens, des jeunes sont descendus dans la rue. Comme leurs aînés en 1985 à Alger, Ghardaïa, Tizi Ouzou, ils ont affronté les forces de l’ordre pour de meilleurs conditions de vie. L’Algérie est dans la rue et la contestation n’est pas l’apanage d’une organisation politique.

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Salah Derbal : La municipalité stalino-capitaliste de Constantine

Article de Salah Derbal paru dans Le Libertaire, n° 400, 14 octobre 1954

Les dernières élections municipales ont démontré une fois de plus que tous les travailleurs ont été dupés, trompés par les promesses d’une clique hypocrite, qui agit simplement pour ses propres intérêts.

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Khedidja : Meeting à la fac centrale d’Alger, les étudiants combattent pour leurs revendications, pour leur organisation

Articles parus dans Tribune algérienne, n° 18, décembre 1978, p. 11-17

« Une jeunesse potentiellement révolutionnaire » (photo publiée dans El Djeich, n° 187, décembre 1978, p. 12)

Dimanche 17 Décembre 1978, s’est tenu un meeting de protestation contre les pseudo-élections qui se sont déroulées dons les différents instituts et facultés.

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Islam et socialisme étatique, un difficile équilibre : l’Algérie

Article paru dans Courant alternatif, mensuel édité par l’Organisation communiste libertaire, n° 37, juin 1984, p. 12-13.

 

 

A l’heure où il devient de bon ton de parler de la « montée de l’intégrisme musulman » – même C.A. s’y met – il convient d’être prudent dans l’analyse d’un phénomène qui nous est très étranger. Deux dangers : le premier, la généralisation : puisqu’il y a montée de l’intégrisme musulman, la montée serait le fait de tous les pays islamisants ; le second, le manque de rigueur dans la définition du mot « intégrisme ». L’intégrisme n’est pas la pratique ou la présence d’une religion ; il s’agit bien de fanatisme et de sectarisme. En ce sens, l’Algérie me parait une situation particulière dans le monde musulman ; situation intéressante à étudier, tout en restant prudent quant à l’analyse très fragile puisque sujette à remise en question permanente (l’Algérie n’est pas à l’abri d’une flambée d’intégrisme).

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A bas la secte des Frères Musulmans !

Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, mensuel de l’Organisation communiste révolutionnaire internationaliste d’Algérie, n° 41, 1er mai – 1er juin 1980, p. 9.

 

 

Depuis quelque temps les « Frères Musulmans » font beaucoup parler d’eux en Algérie. Nombreuses sont les personnes qui font état de leur crainte devant la croissance de cette secte et surtout devant la brutalité dont ses membres font preuve.

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La médecine gratuite en Algérie : un mythe !

Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte. Mensuel ouvrier révolutionnaire, n° 19, mars 1978, p. 12-13.

 

 

Voilà quelques années que le pouvoir a promulgué la « gratuité des soins ». Il prétendait de cette façon résoudre les carences du système de santé. La « gratuité des soins » était (elle l’est encore) présentée comme une preuve de la nature socialiste du régime.

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Bernard Lecache : Musulmans, nos frères…

Éditorial de Bernard Lecache, Le Droit de vivre, 18 juillet 1936.

 

 

Je vous ai vus, et bien vus, mardi dernier, quand vous défiliez en rangs serrés.

Je vous ai vus, les uns et les autres, pressés derrière vos chefs, tendant le poing, saluant passionnément les foules passionnées. Et j’ai compris que nous étions, vous les Musulmans et nous les hommes de la L.I.C.A., des sots.

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1936-1956 : 20 ans après

Texte du MNA diffusé sous forme de tract et publié dans La Voix du Peuple, n° 22, juin 1956.

 

 

En 1936, lors du projet Blum-Viollette, les politicards Ferhat Abbas, Dr. Bendjelloul, Tewfik El-Madani, les socialistes, les communistes et les Oulémas constituaient le « Congrès Musulman » pour soutenir et faire adopter par le Parlement et le Sénat français ce projet qui devait mettre fin à la nation algérienne.