Article paru dans Tribune ouvrière, n° 5, octobre 1954, p. 4
Orléansville a été dévasté par un séisme. Des deuils de la misère.
Evidemment, le gouvernement, la bourgeoisie s’apitoient sur le sort de ces pauvres gens réduits au plus triste dénuement. Les organisations dites ouvrières font de la surenchère en organisant des collectes avec les patrons.
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