Article paru dans Le Libertaire, 25 avril 1925

Le 26 mars 1923, le gouvernement agrarien a porté un coup mortel au peuple bulgare, et préparé par cela même le coup d’Etat du 9 juin 1923 qui porta Tsankoff au pouvoir.
Article paru dans Le Libertaire, 25 avril 1925

Le 26 mars 1923, le gouvernement agrarien a porté un coup mortel au peuple bulgare, et préparé par cela même le coup d’Etat du 9 juin 1923 qui porta Tsankoff au pouvoir.
Article paru dans Pouvoir ouvrier, n° 38, mars 1962, p. 1-2

A mesure que le cessez-le-feu approche, les attentats se multiplient dans les villes d’Algérie : des Algériens tuent des Européens, des Européens tuent des Algériens. Mais le scénario est différent dans les deux cas.
Article de Marco Candore alias Marco Sazzetti, paru dans Alternative libertaire, n° 36, octobre 1995, p. 9-10

La vague terroriste ouvre une situation lourde de dangers. Urgence absolue : être, plus que jamais, aux côtés des immigrés et du combat pour la démocratie en Algérie.
Mon dernier texte intitulé « Attentats en France : “Je ne peux pas m’empêcher de faire un parallèle avec l’Algérie…” » a été mis en ligne hier sur le site de Middle East Eye.

Appel de Messali Hadj paru dans La Révolution prolétarienne, n° 140, juillet-août 1959, p. 20.

Les premiers coups de feu ont été tirés à Paris il y aura bientôt trois ans. Depuis, ils se sont multipliés et ont fait des victimes tant parmi les Nord-Africains que dans la population française.
Article paru dans Tribune ouvrière, n° 21, mars 1956, p. 4.

La préparation psychologique de l’opinion à la guerre d’Algérie, s’intensifie de jour en jour. A travers la presse, la radio, et de tous les moyens mis à sa disposition, la bourgeoisie prépare le terrain. Rien ne nous est épargné, la description méticuleuse des atrocités commises du côté algérien, les attentats commis en France par les nord-africains, connaissent la plus large diffusion, et déjà dans les usines, on s’aperçoit des méfaits de cette propagande.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 5 septembre 1957
Comme les couches de charbon qu’ils arrachent au sous-sol, on rencontre les musulmans de part et d’autre de la frontière.
C’est dans ce paysage au crayon noir, sous ce ciel que strient de toutes parts, dans un hallucinant graphisme, les câbles des treuils, les lignes à haute tension et les filins d’acier, qu’est venu se déverser le trop-plein de la misère méridionale.
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