Article paru dans La Nation socialiste, n° 57, juillet-août 1962, p. 3
Alger, le 25 juin.
ALGER la Blanche, dont les rues sont pleines des immondices accumulées depuis des semaines, où flotte encore l’odeur de la peste, se réveille peu à peu à la paix. Tel un malade à sa première sortie, elle hésite et craint de ne pas résister aux fatigues de ses premiers mouvements.