Article paru dans Le Figaro, 12 novembre 1936.
Les Nord-Africains, Troupes de choc du communisme, ne sont plus surveillés par la police parisienne
L’agitateur Messali se montre ouvertement à Paris
Article paru dans Le Figaro, 12 novembre 1936.
Les Nord-Africains, Troupes de choc du communisme, ne sont plus surveillés par la police parisienne
L’agitateur Messali se montre ouvertement à Paris
Article paru dans Alger républicain, 13 août 1946.
Il ne faut pas confondre le prolétariat français avec l’impérialisme français et les féodaux de chez nous
a déclaré le président du PPA.
Article paru dans Alger Républicain, 27 juin 1951.
Signée par MM. Ferroukhi, Justrabo et Francis, délégués à l’Assemblée algérienne
MOTION COMMUNE MTLD-PCA-UDMA
POUR L’AMNISTIE A L’OCCASION DE L’AID-SEGHIR
Paru dans L’Algérie libre, n°41, 19 janvier 1952 ; poème publié dans le recueil Epreuves.
Lesquels sont les sauvages ?
Article paru dans L’Humanité, 9 octobre 1953.
Aujourd’hui à 14h, obsèques de Mme Messali Hadj à Pont-St-Vincent près de Nancy
Hier matin, le corps de Mme Messali Hadj est arrivé dans son petit village natal de Pont-Saint-Vincent, près de Nancy accompagné par ses enfants Ali et Djenina Messali.
Article paru dans La Vérité, n° 323, 23 octobre au 5 novembre 1953.
L’odieux d’un petit ministre dénommé Martinaud-Déplat a interdit à Messali Hadj d’assister aux derniers moments de son épouse. Les provocations se sont poursuivies pour tenter d’interdire à Messali de participer aux obsèques. Il a fallu cependant que le Gouvernement recule, car l’opinion publique ouvrière et démocrate a été soulevée d’indignation par la mesquinerie et l’indigence des mesures qu’aurait voulu prendre ce ministre.
Article paru dans Alger républicain, 3 octobre 1953
Mme MESSALI HADJ est morte hier dans la matinée. Elle s’est éteinte après une agonie qui a duré une dizaine de jours. Si son fils et sa fille l’ont constamment veillée, son mari, M. Messali Hadj, n’a pu venir l’assister, le gouvernement Laniel et le ministre de l’Intérieur lui ayant refusé l’autorisation de se rendre au chevet de son épouse.
Article paru dans le quotidien Alger Républicain, le 23 juin 1954.
BOUZAREA
A propos de la réunion municipale du 17 juin
Les conseillers municipaux (2eme collège) de Bouzaréa, communiquent :
Article paru dans La Voix du peuple, n° 10, 2 mai 1955.
Le 8 avril 1955, à l’âge de 28 ans, le frère Makhlouf Belaïdi, un grand militant du MNA, a trouvé une mort accidentelle à Rosselange où il menait une intense activité au service de la patrie.
Article paru dans La Voix du Peuple, n° 17, 3 janvier 1956.
Première patriote arrêtée pour son activité révolutionnaire, notre sœur Nassiba Kebal, sténodactylo au Gouvernement Général à Alger, a été scandaleusement maltraitée avant d’être mise sous mandat de dépôt le 12 décembre 1955.
Article paru dans La Voix du Peuple, n° 31.
Le militant infatigable, MOUCI ZAHAR, est né le 10 novembre 1911 à Aït Saad, Commune mixte d’Azazga. Issu d’une famille honorable et profondément attachée aux principes de l’Islam, il apprit très jeune le Coran à la Zaouia Sidi Abderrahmane. Il poursuivit ses études à la mosquée Sidi Lakhdar de Constantine que dirigeait avec dévouement le regretté Cheikh Abdelhamid BENBADIS.
Article paru dans La Voix du travailleur algérien, avril 1958.
Le jeudi 20 mars 1958, notre camarade Bédioune Amar, marié et père de deux enfants, secrétaire de la section USTA de Sedan (Ardennes), a été lâchement assassiné par le FLN-UGTA.
Article paru dans La Voix du peuple, juillet 1961.
DJERMANE Arezki, grande figure du nationalisme et du syndicalisme algériens vient de tomber sous les balles des tueurs du FLN.
Article paru dans La Voix du peuple, n° 37, juillet 1958 et dans le Bulletin d’information du MNA, n° 19/20, 20 juin 1958.
Lundi 2 juin, notre frère Mohand Larbi NAIT MAZI, âgé de 58 ans et père de quatorze enfants, a été assassiné au Bois de Vincennes par les pseudo-patriotes du FLN.
Article paru dans La Voix du travailleur algérien, mai 1960.
Encore un nouveau crime. Décidément, les tueurs à gage du FLN ne sont point décidés à rompre avec ces méthodes sanguinaires qui ne cessent de soulever l’indignation générale de notre peuple et continuant à provoquer des réactions défavorables à notre cause au sein de l’opinion française et internationale.
Malgré les appels réitérés de l’USTA à l’ensemble des ouvriers algériens en vue de cesser les attentats en vue de cesser les attentats fratricides, malgré nos ultimes efforts pour la réconciliation, les criminels, à la joie des colonialistes, se sont illustrés, une fois de plus, en commettant un nouveau forfait.
Article paru dans La Vérité, n° 425, 5 octobre 1956.
DEUX nouvelles condamnations à mort ont été prononcées le 18 septembre par le tribunal permanent des Forces Armées d’Alger.
Il s’agit de Boufaïd Méziane, 44 ans et de Hamid Saïd, 20 ans. Tous deux avaient été fait prisonniers au cours d’une opérations des forces de l’ordre menée le 3 juillet en Grande Kabylie, aux environs des Ouadhias. Ils avaient été déférés au Parquet le 5 septembre. Leurs avocats, du barreau de Paris, prévenus la veille du jugement, se trouvèrent dans l’impossibilité matérielle de les assister et un avocat d’office fut désigné au dernier moment, la remise à une date ultérieure ayant été refusée.
Article d’Yves Dechézelles paru dans La Commune, n°7, mars 1958
Quant à l’intégrité intellectuelle, il y a longtemps que M. Francis Jeanson ne fait plus illusion. Il a pris bruyamment parti dans le grave et douloureux conflit qui oppose le FLN et le MNA ; c’était et cela demeure son droit.
Mais pour un homme qui avait la prétention dans son livre « L’Algérie hors-la-loi » de faire l’historique de la Révolution Algérienne, la passion ne justifiait ni l’erreur, ni la déformation systématique des faits, encore moins leur falsification.
Article paru dans La Dépêche quotidienne d’Algérie, 1er février 1958.
Tribunal militaire d’Alger.
Un membre du M.N.A.
capturé dans la région de Médéa
condamné à mort
Meziane Slimane, 21 ans, cordonnier à Bouïra, membre d’un groupe M.N.A., qui avait été capturé le 27 mai 1957 au cours d’un accrochage dans la commune de Tirghane (Médéa) a été jugé, hier, pour association de malfaiteurs et tentatives d’assassinats.
Article paru dans La Dépêche quotidienne d’Algérie, le 25 août 1955.
Responsable d’autres attentats
Le tueur, Azzouzi Kaddour
après avoir lancé une grenade
accueillit, une arme dans chaque main
ceux qui venaient l’arrêter
Trois complices appréhendés
dont un revêtu d’un
uniforme américain neuf
Un important dépôt d’armes saisi
Extrait d’un article d’Eugène Mannoni paru dans Le Monde diplomatique, février 1958.
La diversité des solutions suggérées pour l’Algérie attesterait, à elle seule, la complexité d’un problème politique brutalement posé le 1er novembre 1954.
Esquisser toutes les solutions ? Nous ne prétendons pas le faire. On trouvera simplement, en page 3, un résumé des principales d’entre elles.
La loi-cadre, dans laquelle le gouvernement français circonscrit les données du problème algérien, et la reconnaissance de l’indépendance algérienne, réclamée par les nationalistes, ne constituent – bien qu’elles doivent plus particulièrement retenir l’attention – que deux des très nombreuses solutions…
Article paru dans La Dépêche quotidienne d’Algérie, 3 mai 1958
Devant le Tribunal permanent des forces armées d’Alger s’est ouvert hier un important procès groupant seize individus accusés de faire partie de cellules terroristes d’obédience MNA, l’une localisée dans la région de Baraki, l’autre au Gué-de-Constantine.
Article d’André Louis paru dans La Cité, 9 juin 1961.
PRESSENTI PAR M. LOUIS JOXE
Le M.N.A. refuse de négocier
« L’offre tardive de la France est une manœuvre »
Selon des informations recueillies auprès de personnalités bien informées proches du Mouvement National Algérien, des membres du Cabinet de M. Louis Joxe, ministre délégué aux Affaires algériennes, ont pris contact avec le MNA à la fin du mois de mai, en vue d’engager des négociations sur le cessez-le-feu et les conditions de l’autodétermination. Nous apprenons qu’une réponse négative a été réservée à cette offre le 6 juin par le MNA compte tenu des circonstances dans lesquelles elle a été faite.
Article paru dans le quotidien La Dépêche de Constantine, les 24-25 novembre 1957
Abdallah Fillali, secrétaire général adjoint des syndicats algériens USTA, victime d’un attentat FLN le 7 octobre dernier, est décédé cet après-midi à l’hôpital Lariboisière, à Paris.
Il avait reçu quatre projectiles et dut subir cinq interventions chirurgicales.
Article paru dans le quotidien La Dépêche de Constantine, le 10 octobre 1957
Le secrétaire général adjoint de l’Union syndicale des travailleurs algériens (USTA),Filali Abdallah, a été victime d’un attentat rue d’Enghien. Atteint de quatre balles dans le dos, le syndicaliste algérien a été transporté dans un hôpital parisien. Son état est critique.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 3 mai 1955
Lille, 2 mai. – Le 1er mal a été marqué dans le Nord par des bagarres entre la police et des Algériens, notamment à Lille, à Douai et à Maubeuge.
C’est à Lille que les incidents ont été les plus graves. Deux meetings avaient été autorisés : l’un, organisé par Force ouvrière, à la Bourse du travail, l’autre, par la C.G.T., devant l’hôtel de ville. Au moment où Ils étaient presque terminés, vers 11 heures, des bandes d’Algériens débouchant de toutes les rues aboutissant à la place de la République, proche de la préfecture et de la Bourse du travail, vinrent se réunir, au nombre d’environ mille cinq cents, pour former un cortège et un défilé, portant le drapeau à croissant noir sur fond rouge du M.T.L.D., et des banderoles reproduisant les slogans de ce mouvement : » l’Algérie aux Algériens « , » Libérez Messali Hadj « , etc. Des papillons représentant le portrait de Messali Hadj étaient jetés à profusion.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 3 mai 1956
En fin de journée, hier, la préfecture de police indiquait dans un communiqué que deux mille cinq cents Algériens qui avaient répondu aux consignes des organisations clandestines et tentaient de se grouper place de Rennes, à Barbes et en d’autres points de la capitale, avaient été interpellés par le service d’ordre et soumis à des vérifications d’identité. La plupart d’entre eux – mille cinq cents – avaient été interpellés dans le secteur République-Bastille, à la sortie des stations de métro et aux points d’arrêt des autobus. Enfin quelque vingt-cinq jeunes gens qui scandaient des slogans contre » la guerre en Algérie « , sur le boulevard de Sébastopol, ont été conduits au commissariat de police, où ils ont été interrogés.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 5 septembre 1957
Comme les couches de charbon qu’ils arrachent au sous-sol, on rencontre les musulmans de part et d’autre de la frontière.
C’est dans ce paysage au crayon noir, sous ce ciel que strient de toutes parts, dans un hallucinant graphisme, les câbles des treuils, les lignes à haute tension et les filins d’acier, qu’est venu se déverser le trop-plein de la misère méridionale.
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