Article d’A. Richard paru dans La Révolution prolétarienne, n° 231, 25 septembre 1936, p. 14-15

Le récent livre de Daniel Guérin, Fascisme et Grand Capital, est pour tous nos camarades d’un intérêt exceptionnel.
Article d’A. Richard paru dans La Révolution prolétarienne, n° 231, 25 septembre 1936, p. 14-15
Le récent livre de Daniel Guérin, Fascisme et Grand Capital, est pour tous nos camarades d’un intérêt exceptionnel.
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 962, 12 décembre 1936.
Sous ce titre, notre camarade Malatesta publiait en 1899 une brochure qui s’applique exactement à cette Monarchie espagnole dont Franco et ses complices se font aujourd’hui les défenseurs. Nous la traduisons non seulement comme document historique, mais afin que les jeunes camarades se rendent bien compte que la situation espagnole actuelle n’a pas un aspect entièrement nouveau, et que le problème de grouper toutes les forces antimonarchistes — aujourd’hui antifascistes — avait déjà été envisagé. Tous les raisonnements faits par Malatesta redeviennent d’actualité et la solution qu’il propose est dans ses grandes lignes celle adoptée par la C.N.T. et la F.A.I. sous la pression même des nécessités. A chacun d’en juger
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil anarchiste, n° 944, 15 mars 1936.
Elle s’est posée une fois de plus à l’occasion des élections espagnoles du 16 février écoulé. Nous croyons utile de verser au débat cette lettre de Malatesta à Fabbri :
Article de Robert Louzon paru dans La Révolution prolétarienne, n° 229, 25 août 1936, p. 1-2.
Le pouvoir économique
Dans les notes précédentes, j’ai indiqué que le prolétariat était maître à Barcelone : disposant de la force armée, il était maître de l’Etat.
Article de Robert Louzon paru dans La Révolution prolétarienne, n° 228, 10 août 1936, p. 4-7
Qu’on ne voie pas dans les notes qui vont suivre l’esquisse d’un exposé général de la situation à Barcelone, et encore bien moins de l’ensemble de l’Espagne. La révolution est une chose formidable, un colosse protéiforme dont il est vain de prétendre saisir tous les traits, et qui change de physionomie d’heure en heure. Il ne s’agit donc ici que de notes, notes tracées en hâte après huit jours passés en Catalogne, notes relatives uniquement au moment présent et à ce point précis de l’Espagne.
Éditorial de Bernard Lecache, Le Droit de vivre, 18 juillet 1936.
Je vous ai vus, et bien vus, mardi dernier, quand vous défiliez en rangs serrés.
Je vous ai vus, les uns et les autres, pressés derrière vos chefs, tendant le poing, saluant passionnément les foules passionnées. Et j’ai compris que nous étions, vous les Musulmans et nous les hommes de la L.I.C.A., des sots.
Article paru dans Le Libertaire, n° 390, 20 mai 1954.
A quelques semaines avant sa mort, il collait encore le “LIB” à Aulnay. Nous lui disions de se reposer, nous le sentions faible. Il n’y avait rien à faire. Il voulait militer, il voulait se battre jusqu’au bout.
Article paru dans Pouvoir ouvrier, n° 11, octobre 1959, p. 1-2.
Il y a un an De Gaulle arrivait au pouvoir en promettant la paix en Algérie et depuis la guerre n’a fait quo s’intensifier. On aurait pu croire que la population travailleuse, qui en supporte les conséquences, serait mécontente et s’opposerait à cette politique. Non, De Gaulle continue la guerre et tout le monde se tait. Mais s’il l’arrête, tout le monde criera au miracle et prétendra qu’il est un homme génial et pacifique.
Texte du MNA diffusé sous forme de tract et publié dans La Voix du Peuple, n° 22, juin 1956.
En 1936, lors du projet Blum-Viollette, les politicards Ferhat Abbas, Dr. Bendjelloul, Tewfik El-Madani, les socialistes, les communistes et les Oulémas constituaient le “Congrès Musulman” pour soutenir et faire adopter par le Parlement et le Sénat français ce projet qui devait mettre fin à la nation algérienne.
Article paru dans Le Figaro, 12 novembre 1936.
Les Nord-Africains, Troupes de choc du communisme, ne sont plus surveillés par la police parisienne
L’agitateur Messali se montre ouvertement à Paris
J’ai choisi de partager ce texte de la philosophe française Simone Weil (1909-1943) dans lequel elle prend position contre la dissolution de l’Etoile nord-africaine (ENA) par le gouvernement de Front populaire. L’ENA, dirigée par Messali Hadj, est surtout présente dans l’émigration algérienne en France et représente le courant politique le plus avancé dans la lutte indépendantiste. Le texte de Simone Weil permet de comprendre les arguments et engagements de ces intellectuels français en solidarité avec les causes algérienne et anticolonialiste, bien avant le 1er novembre 1954.