Déclaration parue dans Algérie-Actualité, n° 1220, du 2 au 8 mars 1989, p. 24
Notre pays connaît depuis le 23 février 1989 une nouvelle situation politique qui exige de tous le respect des règles démocratiques définies par la Constitution.
Déclaration parue dans Algérie-Actualité, n° 1220, du 2 au 8 mars 1989, p. 24
Notre pays connaît depuis le 23 février 1989 une nouvelle situation politique qui exige de tous le respect des règles démocratiques définies par la Constitution.
Déclaration du Mouvement libertaire nord-africain parue dans Le Libertaire, n° 231, 2 juin 1950, p. 3
Le Mouvement Libertaire Nord-Africain vient de naître. Jusqu’ici les groupes d’Afrique du Nord formaient la 13e Région de la Fédération Anarchiste française.
Les conditions politiques, économiques et sociales particulières à cette région rendaient nécessaire la constitution d’un mouvement particulier.
Déclaration du Groupe communiste révolutionnaire parue dans Inprecor, n° 44, 1er février 1979, p. 10-12
Boumédiène est mort. Le mécontentement ouvrier, suscité par les fortes hausses de prix du mois de Ramadhan, comme la fronde des milieux réactionnaires (petits commerçants, frères musulmans), toute cette effervescence du mois de septembre s’est tue depuis que la maladie de Boumédiène, puis sa mort, ont posé la question de l’après-Boumédiène et des perspectives politiques.
Déclaration publiée par Mohammed Harbi et Hocine Zahouane le 26 novembre 1978.
Le pouvoir est vacant. Quelle que soit l’issue de la maladie du colonel Boumediene il est médicalement acquis qu’il ne restera pas à la tête du pays.
Pour information, diffusion et discussion : cette déclaration a été finalisée avec Mohammed Harbi aujourd’hui avant d’être envoyée à différents journaux et médias en ligne.
Le surgissement populaire du 22 février constitue une rupture majeure dans notre histoire comme dans celle du Maghreb. Il s’agit de la consolider et d’élargir le champ des possibles. Aujourd’hui, les Algériens ont remporté une première victoire.
J’ai choisi de partager dans ce billet deux textes publiés à la suite de l’attribution du Prix Nobel de littérature à Albert Camus. Après un premier billet dans lequel je revenais sur trois documents datés de 1955 à 1958, il m’apparaissait important de revenir sur la célèbre citation par laquelle les commentateurs (souvent hostiles) réduisent la pensée et l’action d’Albert Camus au moment de la révolution algérienne : « Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. »