Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 609, 24 février 1923.
Ces temps sont tristes pour nous.
Notre travail de tant d’années semble détruit. Beaucoup de nos camarades languissent dans les prisons et dans les bagnes ou vont errants et désolés par les terres d’exil, tous nous sommes presque réduits à la complète impuissance.
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