Mon dernier texte, rédigé le 4 mars 2019, et intitulé « Algérie : pour que les classes populaires expriment leurs aspirations », vient d’être mis en ligne sur le site d’Alternative libertaire.
En voici les premières lignes :
Mon dernier texte, rédigé le 4 mars 2019, et intitulé « Algérie : pour que les classes populaires expriment leurs aspirations », vient d’être mis en ligne sur le site d’Alternative libertaire.
En voici les premières lignes :
Article d’Errico Malatesta paru dans Le Réveil communiste-anarchiste, n° 653, 8 novembre 1924, p. 3.
Voici un article écrit surtout à un point de vue italien, mais la question de la Constituante pourra aussi se poser ailleurs au lendemain d’une révolution, comme cela a été précisément le cas pour la Russie, aussi croyons-nous utile de le traduire.
Je suis très heureux d’informer mes lecteurs de la parution, aujourd’hui, de mon nouveau livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance. Trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj.
Mon dernier texte intitulé « La révolution a-t-elle vraiment commencé ? » a été mis en ligne hier sur le site The Conversation.
En voici les premières lignes :
J’aurai le plaisir de participer à la table-ronde intitulée « Où a eu lieu la guerre d’Algérie » et qui se tiendra le 5 mars à 18h30 à Sciences Po Lille : 9, rue Angellier (Métro République – Beaux-Arts)
J’ai le plaisir d’informer mes lecteurs que je serai l’invité de Jean Lebrun pour son émission La Marche de l’histoire diffusée ce lundi 4 mars à 13h30 sur France Inter.
Déclaration du Comité de liaison des trotskystes algériens paru dans L’Etincelle, n° 5, février 1979, p. 3-4.
Après deux mois de silence et de mensonges éhontés, l’appareil d’Etat reconnaît aujourd’hui que BOUMEDIENE, l’homme qui dans l’Etat actuel détenait tous les pouvoirs, est dans un état critique.
Article paru dans Le Réveil anarchiste, n° 1026, 22 juillet 1939.
Il y a en France de braves gens faisant la propagande pour l’économie de l’abondance devant remplacer l’économie des restrictions et des destructions en même temps, propre au capitalisme. Comme moyen de réalisation, il préconisent une Constituante. Dans l’immédiate après guerre, lorsque sur toute l’Italie soufflait un vent de révolution, de braves gens aussi proposaient de s’en tenir à la convocation d’une Constituante, ce qui, d’ailleurs, ne fut pas même tenté. Notre camarade Malatesta y était naturellement opposé et en donnait d’excellentes raisons. Et, bien entendu, il s’entendit faire cette objection : « Mais que voulez-vous à la place de la Constituante ? » A quoi il répondit :
Éditorial paru dans Inprecor, n° 44, 1er février 1979, p. 8
La troisième révolution iranienne a commencé et ses vagues impétueuses se succèdent les unes après les autres.
J’ai accordé ce matin un court entretien au journaliste Lakhdar Belaïd pour La Voix du Nord sur les manifestations qui ont lieu en Algérie contre le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika.
J’ai le plaisir de vous annoncer que la soirée de lancement du livre Algérie, une autre histoire de l’indépendance, aura lieu le jeudi 7 mars à 19h à la librairie des PUF : 60, rue Monsieur-le-Prince 75006 Paris (métro Luxembourg ou Cluny-La-Sorbonne).
Mon dernier article intitulé « Souviens-toi… l’été dernier » a été publié dans le numéro 26 (février 2019) du bulletin Négatif.
En voici les premières lignes :
À deux semaines de la publication par les Presses universitaires de France de mon second ouvrage, Algérie, une autre histoire de l’indépendance. Trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj, je suis très heureux d’annoncer la parution algérienne, début mars, de ce livre aux éditions Barzakh.
Éditorial de Souad Benani paru dans les Carnets des Nanas Beurs, n° 1, été 1990, p. 3-4
Pour bien comprendre l’affaire des foulards en France, il faut aussi connaître la situation des femmes dans la chariâ.
Comme dans toutes sociétés de type patriarcale (c’est-à-dire une grande partie de notre planète), les femmes occupent une place inégalitaire. Leur rôle tend cependant à évoluer, à devenir de plus en plus important, et parfois même à conquérir un espace, dévolue jusqu’à présent aux hommes.
Article de Claude Gérard paru dans La Nation socialiste, février 1959.
En même temps, que la déclaration de Messali Hadj « Aux camarades de la Nation Socialiste » voici quelques lignes de « bloc notes » prises au hasard au cours de l’étape Belle Ile Chantilly, ce samedi 17 février 1959…
Mon dernier texte intitulé « Al-Azhar et le Vatican dressent un parallèle douteux entre « l’extrémisme athée » et l’intégrisme religieux » vient d’être mis en ligne sur le site de Middle East Eye. Lien
En voici les premières lignes :
J’ai le plaisir d’annoncer la publication de ma dernière contribution intitulée « À propos du travail : absence, centralité ou obsolescence ? » dans Travailler !, le dernier ouvrage dirigé par Amin Khan paru chez Chihab éditions à Alger et qui s’inscrit dans la série Nous Autres. Éléments pour un manifeste de l’Algérie heureuse.
On trouve également dans ce volume les textes de Redouane Assari, Saïd Djaafer, Tin Hinan El Kadi, Ahmed Maiddi, Nassima Metahri, Fatima Zohra Oufriha, Abdelghani Rahmani, Fouad Souadi et Arezki Tahar.
Article paru dans Tribune algérienne, n° 21, septembre 1979, p. 22-24.
Le peuple Kurde une nouvelle fois crucifié, les organisations ouvrières et démocratiques interdites, les syndicats ouvriers d’Abadan menacés, toutes les publications non conformes à l’orientation de Khomeini interdites, des centaines de journalistes, des milliers de militants ouvriers en prison. Voilà les résultats de l’offensive réactionnaire, contre la révolution iranienne.
Article de Mohammed El Djerah paru dans La Révolution prolétarienne, n° 144, décembre 1959, p. 22-23.
Le deuxième Congrès de la Fédération de France de l’U.S.T.A. a tenu ses assises à la Salle des Fêtes de Fives-Lille les 27, 28 et 29 novembre 1959. 351 délégués représentant 97.675 adhérents aux différents syndicats de l’U.S.T.A., venant de toutes les régions de France, y étalent. Toutes les corporations : métallurgie, produits chimiques, mines, bâtiment, alimentation, etc., étaient représentées. Il y avait 10 Algériennes et les délégués étaient de tous les âges.
Appel du Comité Solidarité ouvrière internationale contre la répression en Iran (CSOIRI) paru dans Le Prolétaire, n° 372, 22 avril au 19 mai 1983, p. 4.
Il y a 4 ans l’insurrection des masses iraniennes avait permis la chute du régime du Shah. Cette insurrection était l’aboutissement d’un vaste et courageux mouvement de lutte de la classe ouvrière et des classes exploitées et des minorités opprimées d’Iran.
Article de Mohamed El Djerah paru dans La Révolution prolétarienne, n° 143, novembre 1959, p. 14-16
Dans la « R. P. » de juillet-août 1959, le camarade Louzon a publié un article sous le titre « Requête à Messali Hadj« .
Tout d’abord, il a rendu hommage au Président du M.N.A. en des termes pleins de sympathie et de grandeur. Il faut le dire, il peint admirablement bien l’ouvrier et le dirigeant courageux qui a consacré sa vie entière au service des travailleurs algériens et à leur éducation.
Article paru dans Tribune algérienne, n° 20, juin 1979, p. 19-20.
En IRAN, c’est la Révolution. Les masses ont balayé la dictature impériale et démantelé ses institutions, semant la panique dans tous les milieux bourgeois réactionnaires à l’échelle mondiale.
Je suis très heureux d’annoncer la parution prochaine aux Presses universitaires de France de mon second livre intitulé Algérie, une autre histoire de l’indépendance. Trajectoires révolutionnaires des partisans de Messali Hadj. Cet ouvrage de 336 pages sera disponible en librairie le 6 mars.
Voici la quatrième de couverture de cet ouvrage qui synthétise une dizaine d’années de recherches :
Article paru dans Le Prolétaire, n° 282, 27 janvier-8 février 1979
Nous écrivions dans le numéro précédent de ce journal, à propos de l’Iran, que le chiisme était contraint, devant l’approfondissement du mouvement social, de conserver une attitude d’opposition intransigeante de façade « pour chercher à contrôler le mouvement social, éviter l’armement de la population et la guerre civile généralisée, et donner ainsi le temps à l’impérialisme de se ressaisir et de disposer ses cartes ».
Appel de Messali Hadj paru dans La Révolution prolétarienne, n° 140, juillet-août 1959, p. 20.
Les premiers coups de feu ont été tirés à Paris il y aura bientôt trois ans. Depuis, ils se sont multipliés et ont fait des victimes tant parmi les Nord-Africains que dans la population française.
Article paru dans Le Prolétaire, n° 277, 18 novembre-1er décembre 1978, p. 1-2.
En une quinzaine d’années, l’économie iranienne a été successivement entraînée par le sabre dans la tourmente de la transformation des campagnes, puis littéralement happée par le tourbillon d’un développement industriel exponentiel permis par l’accroissement vertigineux de la rente pétrolière. Le coup de frein brutal mis à cette course délirante dont tous les membres étaient maintenus ensemble par la poigne de «l’armée la plus moderne du monde», devait projeter le pays dans une crise sans précédent. Cette crise a mis en mouvement des masses humaines immenses, révélant le décalage extrême entre le modernisme économique importé grâce à un Etat totalitaire et puissamment centralisé, agent d’un industrialisme généralisé, et une arriération sociale qui n’a pu encore être dépassée.
Article paru dans La Révolution prolétarienne, n° 138, mai 1959, p. 24.
Après toutes ses années de prison ou de déportation, Messali Hadj, libéré de Belle-Ile, et gardant de là bas le souvenir de nos camarades du Cercle Zimmerwald de Niort, a répondu à l’invitation de la « R. P. » et du Cercle Zimmerwald de Paris et est venu nous parler des problèmes de l’Afrique du Nord. Parmi nous, dit-il, il se sent chez lui. Ainsi y a-t-il toujours eu, même dans les moments les plus sombres de son combat, une poignée d’amis, la « baraka », où des Français ont été mêlés aux Algériens.
Mon dernier article intitulé « Roman réaliste – Anars d’Espagne : les années Paname » vient de paraître dans le mensuel de critique et d’expérimentation sociales CQFD, n° 173 (février 2019).
En voici la présentation par la rédaction de CQFD :
Article d’Azad paru dans Courant alternatif, n° 27, juin 1983, p. 24-25.
Désormais deux phénomènes déterminent le quotidien de chaque iranien, la militarisation et l’islamisation.
Dossier publié dans Tribune algérienne, n° 16, juillet 1978, p. 17-22.
Depuis son premier numéro de Novembre 1974, Tribune Algérienne a dénoncé la triste condition de la femme en Algérie.
Considéré par les statistiques du Ministère du Travail comme une catégorie de population non active, non travailleuse et donc non chômeuse, son exclusion presque complète de la sphère de la production apparaît normale.
Son univers, c’est le gynécée.
Analyse parue dans Courant alternatif, n° 23, février 1983, p. 26-28.
C’est une erreur de voir l’ensemble du mouvement social en Iran sous un angle strictement religieux. Si les religieux ont pu prendre la tête du mouvement populaire c’est grâce à leur implantation traditionnelle dans la société civile et surtout parce qu’ils avaient à leur disposition :
Lettre publiée dans Tribune algérienne, n° 8, novembre 1976, p. 6-7.
Chers Camarades,
La prise de position de la direction du Théâtre National Algérien (TNA) (avec à sa tête Mohammed BOUDIA assassiné en 73 par les services secrets israéliens à Paris), au lendemain du coup d’Etat militaire de Boumediene du 19 Juin 65, a entraîné comme vous le savez sans doute, l’exil de la majeure partie de la direction du TNA, des animateurs et des comédiens.
Article paru dans Pouvoir Ouvrier, n° 42, août 1962, p. 10-11.
Marylin est morte, et bien que morte elle tint plus de place dans les quotidiens et hebdomadaires que Nicolaiev et Popovitch.
Lettre parue dans Tribune algérienne, n° 7, juillet 1976, p. 6-8.
Chers frères,
J’ai pris connaissance de la déclaration du Comité de Liaison des Trotskystes algériens pour la Reconstruction de la IVème Internationale, appelant les militants, les groupes, les organisations, les partis, les travailleurs, les paysans, les jeunes, à combattre ensemble contre le régime de l’arbitraire, pour les libertés démocratiques, pour la Constituante Souveraine. Indépendamment du fait qu’il y a dans cette déclaration un certain nombre de points qui me font problème, je me déclare solidaire de ce combat, je le soutiens totalement politiquement et financièrement. Je vous demande de me faire parvenir une vingtaine de déclarations que je diffuserai par mes propres moyens auprès de nos frères immigrés.
Article de Gilbert Simon paru dans Le Libertaire, n° 428, 28 avril 1955.
La conférence de Bandoeng groupant les représentants de vingt-neuf gouvernements asiatiques et africains s’est terminée mardi 25 avril par le vote de quelques résolutions sur la coexistence et l’anticolonialisme.
« Interview d’un ancien militant du M.N.A., qui fut l’un des créateurs de l’Union syndicale des travailleurs algériens (USTA), la première organisation syndicale algérienne », parue dans Tribune algérienne, n° 7, juillet 1976, p. 3-5
T.A. : Que penses-tu de la situation politique actuelle, de la discussion sur la Charte ouverte par le pouvoir ?
R. : La situation politique en Algérie est arrivée à un tournant décisif.
Pour la première fois depuis le coup d’état militaire du 19 juin 1965, Boumedienne qui a fait de l’Algérie sa propriété personnelle, et de la lutte du peuple algérien depuis l’Etoile Nord Africaine une simple introduction à son régime d’arbitraire, a été contraint, parce que son régime n’avait aucune assise dans la classe ouvrière, la paysannerie, a été contraint, de tenter de mystifier une fois de plus le peuple algérien avec sa campagne sur la Charte.
Article paru dans l’Encyclopédie des nuisances, n° 6, février 1986, p. 128-129.
C’est sous le long règne d’Abderrahman III que le califat de Cordoue connut au Xe siècle son éclat le plus brillant. Les chroniques nous rapportent qu’il sut maintenir la puissance omeyade contre les princes chrétiens et ses rivaux musulmans, et qu’au cours de cette vie généreusement risquée, il protégea les arts et les sciences et fonda la célèbre école de médecine de Cordoue.
Article paru dans Tribune algérienne, n° 1, novembre 1974, p. 11-13.
L’Islam a fortement imprégné le peuple algérien à travers son histoire. On sait le rôle de l’aristocratie religieuse des CHORFA sous Abdelkader, celui de la confrérie des TAÏBIYA, dans le soulèvement de l’Ouarsenis en 1845, celui des RAHMANIYA dans la grande insurrection de Kabylie en 1871… Mais jamais en Algérie, l’Islam n’a été structuré comme une église, avec une hiérarchie disposant d’un immense patrimoine foncier et étroitement lié à l’appareil d’état.
Mon dernier texte intitulé « Gilets jaunes et banlieues françaises : une convergence impossible ? » vient d’être mis en ligne sur le site de Middle East Eye. Lien
Article de Malika Lies paru dans Et-Thaoura, journal révolutionnaire marxiste d’Algérie, n° 4, avril 1983, p. 14
Nous considérons utile, avant de rentrer dans le vif du sujet, de préciser que pour nous les événements de la CUTA [1] ne peuvent être considérés comme un « tournant marquant » dans la situation du mouvement étudiant algérien. D’une part, de par leur prévisibilité, conséquence logique de l’absence d’auto-organisation des étudiants sur des bases démocratiques. D’autre part, l’offensive menée par un avant-gardisme aveugle ne pouvait qu’aboutir à une opération suicide résultat d’un déséquilibre, flagrant, du rapport des forces en faveur des fascistes.
Article signé L. et paru dans Front libertaire des luttes de classe, n° 112, 18 juin 1979, p. 3-4.
La motivation première de ce présent texte est la parution, il y a trois mois, d’une luxueuse (et chère) brochure, intitulée «Manifeste Breton», qui a été déposée un peu partout en Bretagne, en tant que supplément à «Combat Breton» qui lui-même est réapparu à la faveur du créneau économique offert par l’arrestation et la détention des supposés membres du FLB. Cette brochure présente une nouvelle fois (après l’UDB, le PCB, le FASSAB*) une idéologie nationaliste bretonne qui se voudrait «de gauche», voire «révolutionnaire ». Elle est l’occasion de réaffirmer nos positions vis-à-vis de tout nationalisme quel qu’il soit, y compris celui des différents Fronts de libération nationaux du Tiers-Monde.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 40, 1er avril – 1er mai 1980, p. 16-17.
Après s’être déclenché à Alger, un mouvement de grève des étudiants arabisants s’est généralisé aux principales universités du pays. Les étudiants revendiquaient des débouchés pour les diplômés arabophones, l’arabisation totale de l’enseignement et de l’administration. Au début, le gouvernement a eu une attitude conciliante ; le ministre de l’éducation déclarait : « Nous comprenons vos problèmes, vous ne trouvez pas de débouchés après vos études, vous manquez d’enseignants… Mais il faut du temps pour résoudre des questions aussi graves, etc. ».
Article paru dans Et-thaoura, organe révolutionnaire marxiste d’Algérie, n° 3, mai 1982, p. 32
Après un long débat, le comité de rédaction d’Et Thaoura n’enverra pas de reporters à Madrid, ou plus exactement, car il ne faut pas rêver, à Gijon, modeste ville de troisième catégorie du nord de l’Espagne. Bien sûr, nous sommes conscients de décevoir l’attente qu’avaient placé en nous des millions de supporters de l’ « équipe nationale ». Vu l’ampleur de nos moyens, nous nous excusons du préjudice porté à nos lecteurs. Il ne leur restera en effet, pour suivre ces événements, que la télévision, les trois chaînes de radio, les quotidiens, les hebdomadaires, les mensuels…
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 33, juillet-août 1979, p. 8-11.
Dans le numéro précédent de « TIL », nous avions donné une rapide appréciation de la lutte de libération nationale en Algérie, et de son principal instigateur, le FLN (Front de Libération Nationale). D’autres mouvements ont cependant participé à cette lutte. Le Parti Communiste nous intéresse ici, car il est important de tirer le bilan de son attitude, et de donner l’appréciation des révolutionnaires sur une politique nationaliste, qui n’avait de communiste que le nom. Il est nécessaire aussi de montrer comment cette politique bourgeoise du Parti Communiste en Algérie amena ses militants, après bien des revirements, à un suivisme total vis-à-vis du FLN. Suivisme qui préfigure d’ailleurs le soutien « critique » du PCA (maintenant le PAGS), au gouvernement bourgeois issu de la guerre d’Algérie,
Article d’Assia Khalifa paru dans Et Thaoura, journal révolutionnaire marxiste d’Algérie, n° 4, avril 1983, p. 2.
Quelle peut être l’arme pour le pouvoir, afin de s’assurer une relative stabilité et faire oublier à des millions d’Algériens, la misère dans laquelle ils vivent ? …
La coupe du monde 82, nous a montré que ce moyen, très efficace par ailleurs et qui a fait ses preuves, reste le FOOTBALL.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 32, 15 mai – 15 juin 1979, p. 10-14
Nous publions ici la première partie d’une série d’articles sur la lutte de libération nationale en Algérie. La seconde partie paraîtra dans le prochain numéro de « Travailleurs Immigrés en Lutte ».
Article paru dans Pouvoir Ouvrier, n° 2, janvier 1959, p. 1-3.
Tous les gouvernements qui se sont succédé depuis la libération et tous les partis ont adopté comme programme la grandeur, la puissance et l’indépendance de la France. Ils ont échoué. De Gaulle va peut-être réussir si les ouvriers le laissent faire.
Article paru dans Travailleurs immigrés en lutte, n° 31, 15 avril – 15 mai 1979, p. 10-12
A la suite de nos différentes prises de position dans de précédents numéros de TIL sur la question de l’oppression des femmes, il semble qu’un certain nombre de points ont été mal compris par ceux qui nous lisent. C’est à différents arguments les plus fréquemment entendus, notamment dans la brochure des « Femmes Algériennes en Lutte » et dans la réponse qu’elles nous font, que nous voudrions répondre ici : la question du travail à l’extérieur comme moyen de libération des femmes, et celle des droits élémentaires à conquérir. Par ailleurs, nous aborderons dans un prochain numéro le problème de l’organisation des femmes et de son autonomie.
Extrait de la conférence prononcée par Albert Camus à l’Université d’Uppsala le 14 décembre 1957 et reproduite dans ses Œuvres, Paris, Gallimard, 2013, p. 1344-1346
Depuis un siècle environ, nous vivons dans une société qui n’est même pas la société de l’argent (l’argent ou l’or peuvent susciter des passions charnelles), mais celle des symboles abstraits de l’argent. La société des marchands peut se définir comme une société où les choses disparaissent au profit des signes.
J’ai le plaisir d’annoncer la publication sur le site Middle East Eye de mon dernier texte intitulé : « Pour un Maghreb des luttes ».
On le retrouve parmi les contributions réunies sous le titre : « 2019 : ce qui attend le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord« .
En voici le premier paragraphe :
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.