En refusant de se laisser entraîner dans une initiative nationale marquant l’anniversaire des marches de 83, 84 et 85 et en posant le problème de la riposte contre les lois Pasqua-Pandraud, en d’autres termes que ce qui se fait habituellement, la fraction militante de l’immigration, toutes générations confondues, est peut-être en train de donner un contenu à sa revendication de mouvement autonome. Les premiers jalons ont été posé lors des 2 dernières rencontres nationales des associations de l’immigration et de solidarité dont la dernière s’est tenu à Lille les 1er et 2 Novembre.
Une manifestation unitaire anti-raciste contre les lois Pasqua-Pandraud sur l’entrée et le séjour des immigrés en France n’aura vraisemblablement pas lieu début décembre à Paris !
La nouvelle loi relative aux conditions d’entrée et de séjour des étrangers en France a été définitivement adoptée le 7 août 86 par l’Assemblée nationale. Le Conseil constitutionnel, dernier recours, l’a entérinée le 3 septembre avec seulement deux modifications extrêmement mineures.
Affiche éditée par Expressions maghrébines au féminin (Source : Odysseo)
L’OCL ne monopolise pas, c’est le moins que l’on puisse dire, les colonnes de la rubrique « Mouvement » de C.A.
Et pourtant, comme en témoignent nombre d’articles liés à l’actualité sociale et politique, certains d’entre nous, qu’ils soient formellement à l’OCL ou partie prenante de notre appréhension collective du politique, interviennent et prennent des initiatives.
Le deuxième anniversaire de la marche pour l’égalité en novembre 83 est le théâtre d’un débat passionnant et passionné entre les jeunes issus de l’immigration organisés en associations, certaines associations de travailleurs immigrés, et le trust SOS-racisme.
Dans notre dossier « Convergence 84 » du n° 42 de C.A., nous pensions qu’il manquait un « bilan-débat des initiateurs de cette démarche mais surtout les perspectives, les suites de cette initiative ».
Une partie des organisateurs de « Convergence 84 » ont rédigé cette contribution au débat sur l’après-convergence, que nous publions ici.
Un an après la marche pour l’égalité, 55 « rouleurs » en mobylette, partant des « cinq coins de l’hexagone » ont traversé toutes les principales villes dans le but de rencontrer les jeunes des ZUP afin que ceux-ci s’expriment et prennent des initiatives. Leur seul mot d’ordre « L’égalité pour tous »… Aucune revendication nationale précise ! Aucun compromis avec l’Etat ! Aucun respect des institutions politiques et syndicales de ce pays ! A l’arrivée de cette convergence 84 à Paris, nous étions plusieurs dizaines de milliers… Il y avait belle lurette que nous ne nous étions senti « bien » parmi une foule de gens sur le pavé parisien. Il y avait là de multiples visages nouveaux, une majorité de jeunes des cités, entrant de plein pied dans un espace que l’on croyait désormais vide. Ce n’était pas une grand’ messe, ce n’était peut-être pas sans contradiction mais c’était vivant, chaleureux, et plein d’espoir. Nous publions ici l’intervention du collectif national de Convergence 84 à l’arrivée du carnaval, ce 1er décembre à Paris. Mais Convergence 84, c’était aussi et surtout ce qui a pu se passer (ou ne pas se passer) dans les villes, les ZUP, lors du passage de ces rouleurs. Nous avons réuni ici, pour ce dossier, quelques exemples, sur différents parcours de Convergence 84, de la réalité locale sur laquelle repose finalement l’émergence ou non d’un mouvement interculturel de jeunes. Ce dossier qui a quelques aspects contradictoires est de plus, nécessairement incomplet. Il y manque bien entendu un bilan-débat des initiateurs de cette démarche (que l’on espère pour le prochain CA), mais surtout les perspectives, les suites de cette initiative.
L’avortement est interdit dans les pays du Maghreb depuis tout temps, exception faite cependant de la Tunisie, où il est autorisé depuis 1968. D’une façon générale les femmes algériennes et marocaines doivent se débrouiller toutes seules question contraception : même si certains moyens contraceptifs sont en vente en pharmacie (sur ordonnance) la contraception n’atteint réellement que les couches de la petite bourgeoisie informée.
En quelques jours, un travailleur turc a été abattu par des patrons et leur sous-fifre ; un bistrot turc, aussi, a été canardé (2 morts, 5 blessés) par un pauvre crétin qui « n’aime pas les étrangers » autres qu’ « européens ». Sans tomber dans le sentimentalisme, même révolutionnaire, écrire dans ces conditions est parfois difficile. Parce que les mots alignés, bien tranquilles, semblent minables, insuffisants.
A l’heure des crimes et attaques racistes, de l’apparition de Le Pen mais aussi des rafles massives, des expulsions de travailleurs étrangers et de réfugiés politiques, se pose à toutes et à tous le problème de l’antifascisme. L’arrivée de la « gauche » au pouvoir a entraîné naturellement la montée de l’extrême-droite, comme, sous la droite, nous avons assisté à une poussée de l’extrême-gauche !
Article signé E. S. et C. paru dans Courant alternatif, n° 33, février 1984, p. 7-8
Dans CA N° 31, j’avais fait un article sur la « marche pour l’égalité », article dont le scepticisme a été démenti, entre autre par l’arrivée de la marche à Paris, et qui, en s’attachant trop aux tentatives de récupération gravitant autour de la marche, n’a pas assez tenu compte de la dynamique qui était en train de s’enclencher, même si à ce moment-là, cette dynamique n’était pas encore très évidente.
Les femmes immigrées maghrébines qui travaillent dans la production représentent une très petite minorité. A Marseille, par exemple, sur 100 travailleurs algériens, à peine 4 sont des femmes.
Lorsqu’un Algérien est pris à partie par trois jeunes dans un train, poignardé puis jeté sur le ballast dans l’indifférence, le Figaro-Magazine n’y verra que le « résultat du climat de violence et d’insécurité » et « un hasard malheureux qu’il ait été Nord-Africain ». Mais pour beaucoup d’entre nous, il ne s’agit pas d’un simple fait divers mais d’une confirmation supplémentaire d’une certaine montée du racisme. Ces meurtres existent depuis longtemps et n’ont jamais réellement cessé. Mais au moment où l’extrême droite réalise une percée dans bien des élections municipales sur un discours raciste primaire, cet assassinat prend une toute autre signification. Ajoutons à cela les très faibles ripostes des immigrés eux-mêmes ces derniers mois, et le tableau est complet… son titre : Le racisme a repris la rue.
« Oui, nous allons marcher. Marcher pour construire et non pas détruire. Marcher pour être entendus et pour entendre. Marcher pour rassembler et dire la paix. Ensemble nous nous sortirons ainsi de l’engrenage de la haine raciale qui nous menace. De cette marche dépend en grande partie l’avenir de notre pays ». (Conclusion de l’appel à la marche envoyé aux orgas par J. Costil, pasteur et C. Delorme, prêtre…).
Beaucoup de choses ont été écrites sur ce sujet. Que dire de plus ? Il est un fait certain : cette montée du racisme n’est pas due à une augmentation de la population immigrée. Depuis 74, date à laquelle l’immigration fut réglementée par Giscard, le pourcentage d’immigrés par rapport à la population vivant « sur le sol français » n’a guère changé, oscillant aux alentours de 6 à 7% chiffre d’ailleurs déjà atteint dans les années 30.
Article paru dans Parti de classe, n° 6, octobre 1985, p.15-18
Après la marche pour l’égalité et contre le racisme de ’83, après les mobylettes de Convergence, parties de cinq villes de France et culminant dans le défilé-carnaval de plus de 30 000 personnes à Paris le 1 déc. ’84, voici les projecteurs braqués sur « SOS-Racisme » et sur un nouveau happening musical à Concorde. Tous les ans on nous sert les mêmes salades, accommodées d’un assaisonnement différent.
Depuis 1974 la politique de l’immigration dans les pays européens a pris un nouveau tournant. La crise que connaît le capitalisme demande, devant la surproduction de main-d’oeuvre qu’il a engendrée, le repli de chaque Etat sur ses frontières pour assurer sa survie économique. Pour alléger les frais croissants qu’occasionne le chômage, l’expulsion des travailleurs immigrés s’impose, de même que le développement d’une campagne raciste pour pouvoir réaliser les expulsions. La bourgeoisie, toujours soucieuse de préserver les intérêts du capital, emploie ou renvoie les prolétaires selon ses besoins.
Article paru dans Alarme, n° 28, avril-mai-juin 1985, p. 2-3
La société capitaliste qui nous domine et nous exploite profite de temps en temps de quelques bonnes idées qui viennent alimenter la misère plate dans laquelle ses rejetons se meuvent et se meurent à petit feu. Le nouveau produit lancé à cet effet est un badge et un slogan qu’SOS racisme a eu le bonheur de commercialiser : « TOUCHE PAS A MON POTE ». Le pote c’est l’étranger et plus particulièrement celui que l’on reconnait aisément à la couleur de sa peau et à la place qu’il occupe généralement au plus bas de l’échelle sociale.
Article paru dans Alarme, n° 10, octobre-novembre-décembre 1980, p. 11-12
Nombreux sont les commentaires et réactions de la présence d’ouvriers immigrés, surtout algériens, en France. Aujourd’hui, leur présence dans les cités ouvrières dans les municipalités de gauche, et en fait, leur présence tout court, semble « gêner » quelque peu les fractions politiques du jeu démocratique.
Pour bien comprendre l’affaire des foulards en France, il faut aussi connaître la situation des femmes dans la chariâ.
Comme dans toutes sociétés de type patriarcale (c’est-à-dire une grande partie de notre planète), les femmes occupent une place inégalitaire. Leur rôle tend cependant à évoluer, à devenir de plus en plus important, et parfois même à conquérir un espace, dévolue jusqu’à présent aux hommes.
Extrait d’Abdelkader Chaker, La jeunesse algérienne en France. Éléments d’étude de l’émigration familiale, Alger, SNED, 1977, p. 192.
L’option de l’Algérie en faveur du parti unique a condamné à l’exil tous les partis d’opposition qui, à l’exception du Mouvement National Algérien (MNA), émanent du FLN historique. Ces mouvements d’opposition tentent de trouver une audience au sein de l’immigration algérienne, mais il faut bien admettre qu’ils n’y parviennent guère.
« Les visages de l’émancipation : l’action des femmes messalistes durant la révolution algérienne », mon dernier article publié par la revue Le Mouvement social (2016/2), dans un dossier intitulé « Femmes africaines et mobilisations collectives (années 1940-1970) » coordonné par Emmanuelle Bouilly et Ophélie Rillon.
Article paru dans La Voix du Peuple, n° 20, 1er mars 1956
Dans son « Bulletin d’activité » (n°3 du 18 février), le « Comité des Intellectuels » rend compte de la réunion qu’il a organisée le 27 janvier à la Salle Wagram.
Il est pour le moins regrettable que le Comité ait cru devoir insérer dans son bulletin une « mise au point » concernant l’intervention de Moulay Merbah à cette même réunion.
Article paru dans La Voix du Peuple, n° 20, 1er mars 1956
Devant la tournure qu’ont prise les actions provocatrices des colonialistes en France et en Algérie, la région parisienne du M.N.A. a adressé la lettre suivant[e] au secrétaire du « Comité de Vigilance anti-fasciste »:
Pour avoir œuvré à la fraternité des travailleurs français et algériens
Henri Geneste condamné à 3 ans de prison et 100.000 frs d’amende
Trois ans de prison, cent mille francs d’amende, cinq ans de privation des droits civils : tel est l’incroyable verdict prononcé par la cour d’appel de Douai contre le métallurgiste Henri Geneste, emprisonné depuis bientôt quinze mois, pour avoir conformé ses actes à ses convictions.
Intervention de Melle Fatma au 2e congrès de l’USTA, texte paru dans La Voix du travailleur algérien, décembre 1959.
Mlle FATMA (Union locale de Roubaix)
Mes chères sœurs,
mes chers frères,
L’USTA a lutté pour faire triompher les droits des travailleurs algériens au prix que nous connaissons. Nous pouvons désormais dire qu’à partir de sa création jusqu’à présent, elle a rempli sa mission, fait son devoir consciencieusement. Soyons certains que dans le chemin de l’avenir, elle accomplira la tâche qu’elle s’est assignée avec toute l’ardeur dont elle est animée.
Intervention de A. Hedjila au 2e congrès de l’USTA, texte paru dans La Voix du travailleur algérien, décembre 1959.
A… Hedjila, Alimentation, Région parisienne :
Chères sœurs,
Chers frères,
Chers camarades,
J’ai écouté attentivement toutes les interventions de mes camarades qui se sont succédé à cette tribune. J’ai constaté que le problème de la femme n’a pas pris toute l’ampleur qu’il fallait lui donner et l’importance qu’il fallait lui consacrer. Le rapport moral lui-même en a parlé mais très brièvement et sans toutefois apporter des mesures concrètes en faveur de la femme algérienne et de son émancipation.
Article de Yamina B., paru dans La Voix du travailleur algérien, avril 1958.
Bien des opinions, qui parfois diffèrent beaucoup les unes des autres, sont émises par les Algériens à propos du rôle de la femme algérienne au foyer, à l’usine, dans la cité. Des controverses s’établissent : les uns sont attachés au passé traditionnel, les autres imaginent l’avenir. Quel contenu à donner à ces mots qui désormais résonnent à toutes les oreilles : « EMANCIPATION DE LA FEMME ALGERIENNE » ?…
Intervention de M.K. au 1er congrès de l’U.S.T.A publiée dans La Voix du travailleur algérien, n°5, juillet 1957
M.K. (Déléguée féminine de Roubaix). – Traite de la condition de la femme algérienne.
« Il faut avouer que certaines personnes ont été étonnées de voir présente à ce Congrès une délégation de femmes algériennes. Cela est normal car cette apparition est sans aucun doute la première qu’ait effectuée la femme algérienne pour sortir de l’ombre où elle a été volontairement plongée. A ceci nous pouvons affirmer comme l’a déclarée une sœur hier, que le colonialisme n’y est pas étranger. Cependant, d’ores et déjà nous pouvons assurer à la classe ouvrière masculine algérienne que, dorénavant, et quelles que soient les circonstances, elle nous trouvera à ses côtés, prêtes à lutter, à mourir afin de faire échec à l’exploitation économique, sociale et culturelle du colonialisme française.
Communiqué paru dans La Voix du travailleur algérien, septembre 1961.
COMMUNIQUE
Le Bureau Fédéral a appris avec une profonde émotion, le lâche assassinat de Djabourebli Abdelmalek, Membre de la Commission Exécutive et Secrétaire Général de l’Union Locale de Metz et les environs, le 7 août 1961 à Richemond (Moselle), alors qu’il revenait d’une tournée effectuée auprès des Travailleurs de la Section des Métaux d’Ukange.
Article paru dans La Voix du peuple, décembre 1961.
Aïcha BAHRI, patriote algérienne, a été plusieurs fois agressée par le F.L.N. à Lyon. Bien que blessée grièvement plusieurs fois, elle en est sortie avec courage et honneur.
Article paru dans La Voix du peuple, n° 10, 2 mai 1955.
Le 8 avril 1955, à l’âge de 28 ans, le frère Makhlouf Belaïdi, un grand militant du MNA, a trouvé une mort accidentelle à Rosselange où il menait une intense activité au service de la patrie.
Article paru dans La Voix du travailleur algérien, avril 1958.
Le jeudi 20 mars 1958, notre camarade Bédioune Amar, marié et père de deux enfants, secrétaire de la section USTA de Sedan (Ardennes), a été lâchement assassiné par le FLN-UGTA.
Article paru dans La Voix du travailleur algérien, mai 1960.
Encore un nouveau crime. Décidément, les tueurs à gage du FLN ne sont point décidés à rompre avec ces méthodes sanguinaires qui ne cessent de soulever l’indignation générale de notre peuple et continuant à provoquer des réactions défavorables à notre cause au sein de l’opinion française et internationale.
Malgré les appels réitérés de l’USTA à l’ensemble des ouvriers algériens en vue de cesser les attentats en vue de cesser les attentats fratricides, malgré nos ultimes efforts pour la réconciliation, les criminels, à la joie des colonialistes, se sont illustrés, une fois de plus, en commettant un nouveau forfait.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 3 mai 1955
Lille, 2 mai. – Le 1er mal a été marqué dans le Nord par des bagarres entre la police et des Algériens, notamment à Lille, à Douai et à Maubeuge.
C’est à Lille que les incidents ont été les plus graves. Deux meetings avaient été autorisés : l’un, organisé par Force ouvrière, à la Bourse du travail, l’autre, par la C.G.T., devant l’hôtel de ville. Au moment où Ils étaient presque terminés, vers 11 heures, des bandes d’Algériens débouchant de toutes les rues aboutissant à la place de la République, proche de la préfecture et de la Bourse du travail, vinrent se réunir, au nombre d’environ mille cinq cents, pour former un cortège et un défilé, portant le drapeau à croissant noir sur fond rouge du M.T.L.D., et des banderoles reproduisant les slogans de ce mouvement : » l’Algérie aux Algériens « , » Libérez Messali Hadj « , etc. Des papillons représentant le portrait de Messali Hadj étaient jetés à profusion.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 3 mai 1956
En fin de journée, hier, la préfecture de police indiquait dans un communiqué que deux mille cinq cents Algériens qui avaient répondu aux consignes des organisations clandestines et tentaient de se grouper place de Rennes, à Barbes et en d’autres points de la capitale, avaient été interpellés par le service d’ordre et soumis à des vérifications d’identité. La plupart d’entre eux – mille cinq cents – avaient été interpellés dans le secteur République-Bastille, à la sortie des stations de métro et aux points d’arrêt des autobus. Enfin quelque vingt-cinq jeunes gens qui scandaient des slogans contre » la guerre en Algérie « , sur le boulevard de Sébastopol, ont été conduits au commissariat de police, où ils ont été interrogés.
Article paru dans le quotidien Le Monde, le 5 septembre 1957
Comme les couches de charbon qu’ils arrachent au sous-sol, on rencontre les musulmans de part et d’autre de la frontière.
C’est dans ce paysage au crayon noir, sous ce ciel que strient de toutes parts, dans un hallucinant graphisme, les câbles des treuils, les lignes à haute tension et les filins d’acier, qu’est venu se déverser le trop-plein de la misère méridionale.
Nous avons chacun proposé des éléments se rapportant à l’histoire des mouvements que nous étudions, à savoir le Front de libération nationale et le Mouvement national algérien. Nous avons été discutés par Emmanuel Blanchard.
Il y a quelques jours est sorti aux éditions de L’Harmattan, dans la collection du CREAC dirigé par Jacques Simon un ouvrage signé par ce dernier et auquel mon nom est associé. Je tiens par cette lettre à affirmer que je n’ai signé aucun document ou contrat d’édition concernant un livre de cette nature et je ne peux donc en cautionner ni la forme ni le contenu dont certains aspects ne sont pas sans poser des problèmes méthodologiques et philosophiques.
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